10 à 40% des tiques seraient porteuses de la bactérie responsable de la maladie de Lyme. Image du domaine public.
Maladie de Lyme.mp3 (707.14 Ko)
Appelée aussi borréliose de Lyme, cette maladie est causée par des piqûres de tiques hébergeant une bactérie (Borrelia burgdorferii) et la régurgitant lors de leurs repas sanguins. 10 à 40% des tiques seraient porteuses de la bactérie. Une fois diagnostiquée, la maladie, lorsqu’elle est prise en charge précocement, est traitée par des cures d’antibiotiques. Dans des stades plus tardifs de la maladie, le traitement peut être plus complexe à mettre en place en fonction de l’étendue des symptômes.
Errance médicale, diagnostic difficile, symptômes handicapants… La maladie de Lyme est une infection pernicieuse et polymorphe divisant le monde médical et au cœur d’un véritable scandale sanitaire national et mondial. Au centre du débat, la défaillance présumée des tests sérologiques diagnostics, pas assez sensibles selon certains spécialistes pour détecter tous les malades, et leur utilisation inadaptée par les médecins. Associée à cette inefficacité présumée des tests, la maladie de Lyme, mal connue du corps médical, est souvent aussi sous-diagnostiquée du fait de ses symptômes peu spécifiques, et les patients (plus de 26.000 par an) sont laissés dans une errance médicale. Épidémie ou psychose? Seules la recherche et une avancée proposée par le ministère de la Santé permettront une prise charge adaptée de cette maladie, devenue une priorité en matière de santé publique.
Errance médicale, diagnostic difficile, symptômes handicapants… La maladie de Lyme est une infection pernicieuse et polymorphe divisant le monde médical et au cœur d’un véritable scandale sanitaire national et mondial. Au centre du débat, la défaillance présumée des tests sérologiques diagnostics, pas assez sensibles selon certains spécialistes pour détecter tous les malades, et leur utilisation inadaptée par les médecins. Associée à cette inefficacité présumée des tests, la maladie de Lyme, mal connue du corps médical, est souvent aussi sous-diagnostiquée du fait de ses symptômes peu spécifiques, et les patients (plus de 26.000 par an) sont laissés dans une errance médicale. Épidémie ou psychose? Seules la recherche et une avancée proposée par le ministère de la Santé permettront une prise charge adaptée de cette maladie, devenue une priorité en matière de santé publique.