Le premier objectif est donc la collecte d’informations très localisées, en complément des stations officielles de suivi de la pollution de l’air, déjà présentes en centre ville. Cela permettra de proposer de nouveaux services au citoyen, comme la consultation de trajets vertueux (donc de moindre exposition) ou abonnement à des données géo-référencées.
Le deuxième objectif est de mettre à disposition des collectivités et décideurs des données remises continuellement à jour afin d’orienter au mieux les décisions d’aménagements et de mobilité du territoire.
"Les enjeux d’une mobilité adaptée à la circulation urbaine ont permis la mise en place depuis plusieurs années de solutions d’auto-partage, notamment sur des véhicules électriques. Ce mode de transport, sans émissions sonores ni polluantes, est particulièrement vertueux pour diminuer l’impact sanitaire lié à la circulation automobile. Ces véhicules sont des supports idéaux pour proposer de nouveaux services", souligne Didier Dufournet, président de Azimut Monitoring.
Le deuxième objectif est de mettre à disposition des collectivités et décideurs des données remises continuellement à jour afin d’orienter au mieux les décisions d’aménagements et de mobilité du territoire.
"Les enjeux d’une mobilité adaptée à la circulation urbaine ont permis la mise en place depuis plusieurs années de solutions d’auto-partage, notamment sur des véhicules électriques. Ce mode de transport, sans émissions sonores ni polluantes, est particulièrement vertueux pour diminuer l’impact sanitaire lié à la circulation automobile. Ces véhicules sont des supports idéaux pour proposer de nouveaux services", souligne Didier Dufournet, président de Azimut Monitoring.