Kilian Jornet. Photo © Alexis Martin
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Kilian Jornet est rentré de son expédition à l'Everest sans avoir réussi à conquérir la plus haute montagne du monde. Les mauvaises conditions climatiques sur le trajet final de l'expédition ont empêché la réussite de cette tentative d'ascension de la face nord de l'Everest. De forts cumuls de neige ont contraint l'Espagnol à renoncer à sa tentative de record sur le toit du monde.
Parti début août 2016 en direction de l'Himalaya, en compagnie de son équipe (le réalisateur Sébastien Montaz, le skieur Vivian Bruchez et l'himalayiste Jordi Tosas), il s'apprêtait à tenter un des plus gros défi de sa vie d'alpiniste: établir le record de l'aller-retour sur l'Everest (8.848m d'altitude). Ce défi ambitieux devait venir clôturer la série d'ascensions de son projet "Summits of my life", projet de longue date qui l'avait déjà mené sur les pentes du Mont-Blanc, du Cervin, de l'Elbrouz, du McKinley et de l'Aconcagua.
Fin août, Jornet avait difficilement atteint les 7.000 m du col nord, freiné justement par ces forts cumuls. Jeudi 15 septembre 2016, et après avoir quitté le camp de base de l’Everest situé à 6.000 m d’altitude, il a annoncé qu'il renonçait pour cette fois. "Il y a un peu de frustration car nous étions en bonne forme et bien acclimatés. Mais la météo et les conditions sont très dangereuses" a-t-il dit. Kilian Jornet a annoncé la nouvelle avec un message audio posté sur les réseaux accompagné du commentaire: "Nous reviendrons, Everest". Il ajoute: "Nous avons tout de même appris beaucoup de choses sur cette montagne et sur la façon de l'aborder la prochaine fois."
"L'Ultra-terrestre" n'a donc pas dit son dernier mot et se voit déjà retenter l'expérience.
Parti début août 2016 en direction de l'Himalaya, en compagnie de son équipe (le réalisateur Sébastien Montaz, le skieur Vivian Bruchez et l'himalayiste Jordi Tosas), il s'apprêtait à tenter un des plus gros défi de sa vie d'alpiniste: établir le record de l'aller-retour sur l'Everest (8.848m d'altitude). Ce défi ambitieux devait venir clôturer la série d'ascensions de son projet "Summits of my life", projet de longue date qui l'avait déjà mené sur les pentes du Mont-Blanc, du Cervin, de l'Elbrouz, du McKinley et de l'Aconcagua.
Fin août, Jornet avait difficilement atteint les 7.000 m du col nord, freiné justement par ces forts cumuls. Jeudi 15 septembre 2016, et après avoir quitté le camp de base de l’Everest situé à 6.000 m d’altitude, il a annoncé qu'il renonçait pour cette fois. "Il y a un peu de frustration car nous étions en bonne forme et bien acclimatés. Mais la météo et les conditions sont très dangereuses" a-t-il dit. Kilian Jornet a annoncé la nouvelle avec un message audio posté sur les réseaux accompagné du commentaire: "Nous reviendrons, Everest". Il ajoute: "Nous avons tout de même appris beaucoup de choses sur cette montagne et sur la façon de l'aborder la prochaine fois."
"L'Ultra-terrestre" n'a donc pas dit son dernier mot et se voit déjà retenter l'expérience.
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Face aux nouveaux défis, le cheval s’adapte 
