Bungalow privatif face à la mer. Photo (c) MBCI
Sur un coup de tête avec des amis nous nous sommes dit: tiens allons aux Maldives!
Regardons sur Internet ce que la plus grande majorité des personnes y recherche...
Il y a le soleil oui le grand soleil chaque jour on regarde avec anxiété les prévisions. On y voit pluie pluie chaque jour. La période est mi-décembre 2012. Grande surprise, c'est comme Météo France à la frontière italienne, toujours à côté de la plaque. Juste trois nuits de pluie de courte durée. Maintenant que je vous écris cet article, légèrement nuageux et trois gouttes d'eau. Nous sommes aux tropiques à quatre degrés nord de l'équateur donc la météorologie change extrêmement vite avec une constance Soleil. N'ayez pas peur pour ce point là. Bien qu'il pleuve, la vie continue par la natation ou activités organisées par l'hôtel. Pour la fameuse assurance soleil les conditions sont telles que c'est plus un attrape-nigaud qu'autre chose.
Le deuxième point recherché par les personnes est la plage. Là vous devez faire attention car toutes les îles ne sont pas logées à la même enseigne. Vous devez avoir à l'esprit que les Maldives sont menacées de disparition par trois phénomènes: le tsunami et la montée des eaux (donc érosion plus forte) puis occupation du sol. Ces trois points sont pris très au sérieux par les locaux. Pour se préserver des aléas naturels l'homme protège sont habitat. Pour la montée des eaux mais surtout la perte de plage le côté exposé à l'océan est ceinturé de petits murets disgracieux tout comme vous pouvez voir en Europe le long du littoral. Bien souvent ils sont sous-marins car la profondeur des eaux est supérieure. Leur fonction première est de retenir le sable des plages qui sinon serait emporté par les grosses vagues et par le vent . Oui le vent vu les constructions de l'île il ne peut la traverser de part en part donc il se forme un rouleau qui gratte petit à petit les berges par ce muret le vent devient un tampon plutôt qu'un grattoir. Sa deuxième fonction est de couper la lame de la vague en cas de fort coup d'eau. Sinon avant la plage disparaissait et devait être recrée grâce à des pompes projetant le sable. De petits sacs de jute discrets sont cachés ça et là pour maintenir au sol le précieux tapis.
Petit avantage, des murets ils renferment une multitude de crustacés et crabes que les enfants ou autre à marée basse peuvent aller titiller. La vie va prendre le dessus et sera une richesse pour tous.
Attention à certains endroits de la plage vous avez de très très fortes marées donc une belle plage à marée basse mais à haute vous êtes les pieds dans l'eau dés la sortie de votre magnifique terrasse.
Le côté lagon n'a pas cet artifice mais les sacs de jute sont bien ensablés tout de même. A vous de choisir côté lagon c'est la photo carte vue. Où toute l'activité hôtelière est consacrée. Dîner aux chandelles, passage... Petit port aller et venue de bateaux de toutes sortes.
Pour le tsunami de nombreux plans dispersés sur l'île indiquent les emplacements de rassemblement en cas d'alerte. Chaque bungalow disposent de gilets de sauvetage. Plus tard vous lirez comment ils sont détournés de leur utilisation première.
Le troisième point, la vie sous-marine, là le monde va se fractionner. Loin d'être incompatible un choix doit être fait. Voudrait-on avoir des vacances tournées vers la terre ou entre les Mers d'Arabie et des Laquedives?
Si vous aimez la vie sous-marine, le récif est les pieds dans l'eau à dix mètres de la terrasse ombragée par la luxuriante végétation entourant les petits bungalows au style si particulier qui méritent le détour. Si vous aimez le calme et la solitude, vous devez vous éloigner de ceux qui font la musique et activités des invités (noms donnés aux clients), sans arrêt avec le bruit des divers moteurs sonorisant le lieu.
Regardons sur Internet ce que la plus grande majorité des personnes y recherche...
Il y a le soleil oui le grand soleil chaque jour on regarde avec anxiété les prévisions. On y voit pluie pluie chaque jour. La période est mi-décembre 2012. Grande surprise, c'est comme Météo France à la frontière italienne, toujours à côté de la plaque. Juste trois nuits de pluie de courte durée. Maintenant que je vous écris cet article, légèrement nuageux et trois gouttes d'eau. Nous sommes aux tropiques à quatre degrés nord de l'équateur donc la météorologie change extrêmement vite avec une constance Soleil. N'ayez pas peur pour ce point là. Bien qu'il pleuve, la vie continue par la natation ou activités organisées par l'hôtel. Pour la fameuse assurance soleil les conditions sont telles que c'est plus un attrape-nigaud qu'autre chose.
Le deuxième point recherché par les personnes est la plage. Là vous devez faire attention car toutes les îles ne sont pas logées à la même enseigne. Vous devez avoir à l'esprit que les Maldives sont menacées de disparition par trois phénomènes: le tsunami et la montée des eaux (donc érosion plus forte) puis occupation du sol. Ces trois points sont pris très au sérieux par les locaux. Pour se préserver des aléas naturels l'homme protège sont habitat. Pour la montée des eaux mais surtout la perte de plage le côté exposé à l'océan est ceinturé de petits murets disgracieux tout comme vous pouvez voir en Europe le long du littoral. Bien souvent ils sont sous-marins car la profondeur des eaux est supérieure. Leur fonction première est de retenir le sable des plages qui sinon serait emporté par les grosses vagues et par le vent . Oui le vent vu les constructions de l'île il ne peut la traverser de part en part donc il se forme un rouleau qui gratte petit à petit les berges par ce muret le vent devient un tampon plutôt qu'un grattoir. Sa deuxième fonction est de couper la lame de la vague en cas de fort coup d'eau. Sinon avant la plage disparaissait et devait être recrée grâce à des pompes projetant le sable. De petits sacs de jute discrets sont cachés ça et là pour maintenir au sol le précieux tapis.
Petit avantage, des murets ils renferment une multitude de crustacés et crabes que les enfants ou autre à marée basse peuvent aller titiller. La vie va prendre le dessus et sera une richesse pour tous.
Attention à certains endroits de la plage vous avez de très très fortes marées donc une belle plage à marée basse mais à haute vous êtes les pieds dans l'eau dés la sortie de votre magnifique terrasse.
Le côté lagon n'a pas cet artifice mais les sacs de jute sont bien ensablés tout de même. A vous de choisir côté lagon c'est la photo carte vue. Où toute l'activité hôtelière est consacrée. Dîner aux chandelles, passage... Petit port aller et venue de bateaux de toutes sortes.
Pour le tsunami de nombreux plans dispersés sur l'île indiquent les emplacements de rassemblement en cas d'alerte. Chaque bungalow disposent de gilets de sauvetage. Plus tard vous lirez comment ils sont détournés de leur utilisation première.
Le troisième point, la vie sous-marine, là le monde va se fractionner. Loin d'être incompatible un choix doit être fait. Voudrait-on avoir des vacances tournées vers la terre ou entre les Mers d'Arabie et des Laquedives?
Si vous aimez la vie sous-marine, le récif est les pieds dans l'eau à dix mètres de la terrasse ombragée par la luxuriante végétation entourant les petits bungalows au style si particulier qui méritent le détour. Si vous aimez le calme et la solitude, vous devez vous éloigner de ceux qui font la musique et activités des invités (noms donnés aux clients), sans arrêt avec le bruit des divers moteurs sonorisant le lieu.
Avant toute chose, définissez vos priorités et souhaits
Décoration naturelle pour les mariages. Photo (c) MBCI
Énoncez-les à votre agence ou directement à l'hôtel et ils vous choisiront leur meilleur emplacement suivant vos désirs. Si malgré tout cela n'irait pas selon les disponibilités, ils vous proposeront d'autres choix. Avec la patience et l'ouverture d'esprit, très certainement un petit coin paradisiaque vous sera trouvé.
Ho, le ciel est de nouveau bleu et ensoleillé!
Chaque île a ses avantages et inconvénients. C'est lors de vos réflexions et plans de voyages, accompagné de nombreux ouvrages, que vous devez la choisir via Internet et ou une agence de voyages.
Mon choix a été le mieux pour le moins cher, le rapport qualité-prix a joué lourdement.
Vilu Reef n'est pas le premier choix. Il avait été choisi une île au nord de Malè. Fort similaire à celle-ci mais les bungalows été si pauvres de caractère qu'une chambre à Majorque aurait été mieux. Donc le cachet typiquement local (probablement pour touriste) nous a vraiment séduit.
Puis un autre hôtel a été trouvé mais le transport entre l'aéroport et l'île était en supplément. Quand celui-ci est au prix des deux tiers de votre billet d'avion... vous y réfléchissez à deux fois.
Et voilà notre choix a été sur cette île au milieu de nulle part, avec plein de mauvais commentaires sur divers sites. Commentaires qui avaient plusieurs années d'âge. Et un qui dit changement de direction il y a très peu de temps... en cinq ans dans l’hôtellerie cela revient à un siècle.
Aucun commentaire négatif n'étant rédhibitoires à nos yeux, le prix proposé super bon (confirmé par des personnes ayant réservé des mois à l'avance mais qui ont déboursé plus de la moitié que nous avec le last minute), nous contactons directement le service de réservation avec la liste de nos désirs et ceux que nous voulions absolument éviter. La réponse très chaleureuse confirmant et affirmant leur capacité à nous satisfaire nous convainc à franchir le cap de la réservation.
La grande chauve-souris solitaire revient comme un métronome nous saluer en ce moment.
Bon nous avons un toit. Comment y arriver? Sachant qu'une partie du groupe vient de Biélorussie sans visa Schengen et moi via l'aéroport niçois. (j'ai appris mais trop tard que la Belgique est le seul pays de la zone Schengen qui ne demande pas de visa transit au voyageur du moment qu'on ne sorte pas de l'aéroport... sacré élément pour les personnes qui voyagent avec Air France via Paris où un visa transit est obligatoire même pour un simple stop. Brussels Airlines qui veut se positionner entre l'Afrique et le reste du monde dans le groupe Star Alliance y a une sacrée carte à jouer). D’emblée, les vols avec correspondance exigeant un visa sont supprimés. Ce qui n'est pas un mal car bien plus cher que les deux qui s'offrent à nous. Il y a Dubaï avec Emirates et Istanbul avec Turkish Airlines. Bien que le service soit nettement supérieur, il est recalé car une nuit au retour y était obligatoire. Et un hôtel là coûte bien plus cher que les turcs. Figurez-vous que l'hôtel à deux pas d'Attatuck demandait en direct 140 € par nuit et par l'agence de voyages 80 €, incroyable, et en plus une chambre de qualité supérieure à été offerte. Oui il semble que les agences ont des prix spéciaux et nombreuses formules - à vous de comparer.
Voilà le voyage est financé, on ne peut plus reculer sauf grosse pénalité (petit prix oblige)!
Nos divers vols se sont merveilleusement bien passés. Entre Istanbul et Malè 80 personnes pour un Airbus A330, le rêve, nous avons chacun eu droit à notre rangée central complète comme lit.
A la douane nous devons donner tout alcool car le pays interdit les boissons alcoolisées. Mais au retour vous pouvez récupérer vos bouteilles. Sur les lieux de "perditions" pour les étrangers vous pouvez trouver toutes les grandes marques d'alcool, loin des prix de chez nous.
A notre arrivée vers 7 heures pour eux, 4 pour nous, un agent du tour opérateur nous accompagne pour le transfert en... hydravion; eh oui un choix entre 45 minutes ou 180 avec un bateau, en plus la vue... le top. Attention, certaines personnes se sont senties mal - soit le mal de mer, soit envie de remettre cœur sur carreau. Donc un petit médicament pour le cœur sensible semble indispensable tout comme pour les activités accessibles par bateau qui tangue au gré des vagues. Autre point important, l'hydravion n’accepte gratuitement que 20 kg dans la valise en soute alors que l'autre vol 35...
Mais nous devons attendre le prochain vol programmé dans l'heure 30. Le petit aérodrome si sympathique avec Internet gratuit très très lent nous permet d'envoyer des petits messages par-ci-et par-là, le temps passe bien vite. La compagnie est tenue par des Scandinaves aux normes européennes, ne vous arrêtez pas au style très décontracté de l'équipage et personnel terrestre.
Après un merveilleux vol plein de surprises pour les yeux et sensations nous arrivons. La nuit tombe et l'orage et pluie arrivent avec un bon vent soutenu, quel bonheur! Je suis prêt à sauter à l'intérieur, voilà le temps de l'écrire, il pleut.
Accueilli selon les coutumes locales des plus charmantes, nous sommes briffés sur les us et coutumes de l'emplacement des chambres qui nous sont allouées. Il est à noter que plus la catégorie d'hôtel augmente moins est sympathique le personnel. Cela se remarque grandement aux Maldives. Ici c'est un quatre étoiles qui va passer en cinq. Il est prévu dans les six mois une grande rénovation des parties communes ainsi qu'un restaurant sur pilotis. C'est le premier hôtel d'un puissant homme d'affaires du pays très bien côté dans le milieu politique et du business. Ses bénéfices lui ont permis de construire six autres complexes. La valeur des îles hôtelières a triplé.
Ho, le ciel est de nouveau bleu et ensoleillé!
Chaque île a ses avantages et inconvénients. C'est lors de vos réflexions et plans de voyages, accompagné de nombreux ouvrages, que vous devez la choisir via Internet et ou une agence de voyages.
Mon choix a été le mieux pour le moins cher, le rapport qualité-prix a joué lourdement.
Vilu Reef n'est pas le premier choix. Il avait été choisi une île au nord de Malè. Fort similaire à celle-ci mais les bungalows été si pauvres de caractère qu'une chambre à Majorque aurait été mieux. Donc le cachet typiquement local (probablement pour touriste) nous a vraiment séduit.
Puis un autre hôtel a été trouvé mais le transport entre l'aéroport et l'île était en supplément. Quand celui-ci est au prix des deux tiers de votre billet d'avion... vous y réfléchissez à deux fois.
Et voilà notre choix a été sur cette île au milieu de nulle part, avec plein de mauvais commentaires sur divers sites. Commentaires qui avaient plusieurs années d'âge. Et un qui dit changement de direction il y a très peu de temps... en cinq ans dans l’hôtellerie cela revient à un siècle.
Aucun commentaire négatif n'étant rédhibitoires à nos yeux, le prix proposé super bon (confirmé par des personnes ayant réservé des mois à l'avance mais qui ont déboursé plus de la moitié que nous avec le last minute), nous contactons directement le service de réservation avec la liste de nos désirs et ceux que nous voulions absolument éviter. La réponse très chaleureuse confirmant et affirmant leur capacité à nous satisfaire nous convainc à franchir le cap de la réservation.
La grande chauve-souris solitaire revient comme un métronome nous saluer en ce moment.
Bon nous avons un toit. Comment y arriver? Sachant qu'une partie du groupe vient de Biélorussie sans visa Schengen et moi via l'aéroport niçois. (j'ai appris mais trop tard que la Belgique est le seul pays de la zone Schengen qui ne demande pas de visa transit au voyageur du moment qu'on ne sorte pas de l'aéroport... sacré élément pour les personnes qui voyagent avec Air France via Paris où un visa transit est obligatoire même pour un simple stop. Brussels Airlines qui veut se positionner entre l'Afrique et le reste du monde dans le groupe Star Alliance y a une sacrée carte à jouer). D’emblée, les vols avec correspondance exigeant un visa sont supprimés. Ce qui n'est pas un mal car bien plus cher que les deux qui s'offrent à nous. Il y a Dubaï avec Emirates et Istanbul avec Turkish Airlines. Bien que le service soit nettement supérieur, il est recalé car une nuit au retour y était obligatoire. Et un hôtel là coûte bien plus cher que les turcs. Figurez-vous que l'hôtel à deux pas d'Attatuck demandait en direct 140 € par nuit et par l'agence de voyages 80 €, incroyable, et en plus une chambre de qualité supérieure à été offerte. Oui il semble que les agences ont des prix spéciaux et nombreuses formules - à vous de comparer.
Voilà le voyage est financé, on ne peut plus reculer sauf grosse pénalité (petit prix oblige)!
Nos divers vols se sont merveilleusement bien passés. Entre Istanbul et Malè 80 personnes pour un Airbus A330, le rêve, nous avons chacun eu droit à notre rangée central complète comme lit.
A la douane nous devons donner tout alcool car le pays interdit les boissons alcoolisées. Mais au retour vous pouvez récupérer vos bouteilles. Sur les lieux de "perditions" pour les étrangers vous pouvez trouver toutes les grandes marques d'alcool, loin des prix de chez nous.
A notre arrivée vers 7 heures pour eux, 4 pour nous, un agent du tour opérateur nous accompagne pour le transfert en... hydravion; eh oui un choix entre 45 minutes ou 180 avec un bateau, en plus la vue... le top. Attention, certaines personnes se sont senties mal - soit le mal de mer, soit envie de remettre cœur sur carreau. Donc un petit médicament pour le cœur sensible semble indispensable tout comme pour les activités accessibles par bateau qui tangue au gré des vagues. Autre point important, l'hydravion n’accepte gratuitement que 20 kg dans la valise en soute alors que l'autre vol 35...
Mais nous devons attendre le prochain vol programmé dans l'heure 30. Le petit aérodrome si sympathique avec Internet gratuit très très lent nous permet d'envoyer des petits messages par-ci-et par-là, le temps passe bien vite. La compagnie est tenue par des Scandinaves aux normes européennes, ne vous arrêtez pas au style très décontracté de l'équipage et personnel terrestre.
Après un merveilleux vol plein de surprises pour les yeux et sensations nous arrivons. La nuit tombe et l'orage et pluie arrivent avec un bon vent soutenu, quel bonheur! Je suis prêt à sauter à l'intérieur, voilà le temps de l'écrire, il pleut.
Accueilli selon les coutumes locales des plus charmantes, nous sommes briffés sur les us et coutumes de l'emplacement des chambres qui nous sont allouées. Il est à noter que plus la catégorie d'hôtel augmente moins est sympathique le personnel. Cela se remarque grandement aux Maldives. Ici c'est un quatre étoiles qui va passer en cinq. Il est prévu dans les six mois une grande rénovation des parties communes ainsi qu'un restaurant sur pilotis. C'est le premier hôtel d'un puissant homme d'affaires du pays très bien côté dans le milieu politique et du business. Ses bénéfices lui ont permis de construire six autres complexes. La valeur des îles hôtelières a triplé.
Photo (c) MBCI
Tombant de sommeil gros dodo à l'arrivée. Donc pensez que vous perdez une journée et demi pour vous acclimater au changement d'horaire. Ne pensez pas à vouloir avoir une grande activité, vous en perdrez toute la saveur.
Les activités sur place sont riches en émotions et surprises. Aussi pour le palais qui déguste une cuisine variée fine et riche en saveurs gustatives. Attention, demandez bien la force de l'assaisonnement car certains plats sont épicés et là cela peut être trop pour les papilles occidentales. Mais rien de bien méchant: un bon verre d'eau ou vodka enlèvera le feu de gorge. Ce qui est bien c'est de mélanger le doux avec le feu. Un morceau de pastèque avec de l'épice est étrange à découvrir. Mais vous trouverez vos repaires gastronomiques très rapidement et vous vous sentirez vite à la maison. Tout, vraiment tout est bon. Chaque jour offre un plat différent. Mais le pain, le riz, les fruits et pâtisseries, poisson, viande sont là constamment, avec la ou les soupes du jour. Comme j'étais entre deux eaux les deux premiers jours, je ne peux plus me souvenir si chaque jour a son menu ou vraiment le menu est entièrement différent. De toute façon si vous restez deux semaines et que les plats du jour reviennent chaque semaine, il y a une telle variété que vos choix seront renouvelés. Ou alors si vous avez adoré un mets il vous serait possible de le redécouvrir au menu. Comme vous le savez, l'alcool est un bien précieux, la réserve de l'hôtel est fermée à double tour et une porte barrée d'une barre en diagonale protège ce trésor des tentations.
Tout es vraiment mis en place pour le confort des membres du personnel, les règles d’hygiène sont strictes et on peut ne pas avoir peur de ce côté là. L'eau est dessalée et les bouteilles sont purifiées dans une chambre aseptisée. Tout est géré comme sur un bateau. Mais les aliments et boissons que nous y trouvons ne sont pas trouvables dans les îles publiques. Donc la population et les hôtels ont des filières de douane différentes.
Nous n'avons pas essayé la formule à la carte qui demande un petit supplément, tant les mets proposés nous comblaient amplement.
La formule buffet qui nous était allouée offrait sans limite de quantité la nourriture. Il est important d'éviter le gaspillage car la population locale ne peut en avoir autant que nous. Donc évitez de jeter la nourriture qui est sur votre assiette. Si vous ne connaissez pas le mets, prenez en un minimum pour que vous soyez capable de le manger même si vous n'appréciez pas. Si vous êtes servi par le personnel il se met un point d'honneur d'être plus que généreux en vous remplissant votre assiette. N'hésitez pas à demander le minimum, quitte à venir vous resservir. Pratique semble-t-il étrange pour eux qu'on demande peu alors que beaucoup est possible. Mais après la poubelle est là. Alors par respect svp insistez à la modération. Après deux ou trois déboires le serveur vous connaîtra et vous donnera la quantité que vous jugerez adaptée à votre estomac, cela sans un mot de votre part.
Pour les activités des soirées, nous pouvons vous dire qu'elles sont hebdomadaires.
Les légumes et fruits de base sont cultivés sur une île proche d'où nous étions avec des techniques dignes de l’aérospatial. Peut-être un peu trop de fertilisants mais n'étant pas agronome je ne peux juger. Dés que vous avez une remarque, l'équipe de gestion en prend immédiatement compte pour améliorer la situation.
Nous rions des Asiatiques avec leur manière de se couvrir le corps dans l'eau. Figurez-vous qu'ils ont bien raison. Car notre peau résiste peu au soleil du coin. Après un après-midi de pataugeoire parmi les poissons vous avez un sacré coup de soleil sur le dos et jambes malgré la crème solaire. Alors n'hésitez pas à avoir un vieux vêtement pour vous couvrir le dos. Le mieux est votre gilet de sauvetage car vous flottez sans fatigue.
Il est à noter qu'après les dégâts cutanés, le service hôtelier est des plus aimables et serviables, il vous offre paracétamol et crèmes après solaire. Cela est vraiment bien de leur part pour notre confort. Alors que nous avions la crème, un médicament - avant de dormir durant deux nuits après la première nuit blanche - a été grandement utile au sommeil.
Sachez qu'il y a un médecin sur place qui fournit les soins gracieusement et d'une manière très professionnelle car il a été formé en Russie et là la médecine est très stricte. Aussi, si c'est plus grave, vous êtes à une heure de l’hôpital.
Une autre chose à laquelle il faut faire attention, c'est boire la tasse d'eau de mer. La concentration est très importante, si vous avez bu de l'eau salée, ne la recrachez pas car elle vous brûle deux fois le gosier! Si cela vous arrive, le médecin vous donne un médicament et en deux jours vous êtes remis sur pied. Il est primordial d'aller immédiatement le demander sinon nuit blanche assurée... avec tous les symptômes d'un bon rhume avec le nez qui coule alors que ce n'est que le corps qui veux recréer les muqueuses raclées par l'eau.
Les activités sur place sont riches en émotions et surprises. Aussi pour le palais qui déguste une cuisine variée fine et riche en saveurs gustatives. Attention, demandez bien la force de l'assaisonnement car certains plats sont épicés et là cela peut être trop pour les papilles occidentales. Mais rien de bien méchant: un bon verre d'eau ou vodka enlèvera le feu de gorge. Ce qui est bien c'est de mélanger le doux avec le feu. Un morceau de pastèque avec de l'épice est étrange à découvrir. Mais vous trouverez vos repaires gastronomiques très rapidement et vous vous sentirez vite à la maison. Tout, vraiment tout est bon. Chaque jour offre un plat différent. Mais le pain, le riz, les fruits et pâtisseries, poisson, viande sont là constamment, avec la ou les soupes du jour. Comme j'étais entre deux eaux les deux premiers jours, je ne peux plus me souvenir si chaque jour a son menu ou vraiment le menu est entièrement différent. De toute façon si vous restez deux semaines et que les plats du jour reviennent chaque semaine, il y a une telle variété que vos choix seront renouvelés. Ou alors si vous avez adoré un mets il vous serait possible de le redécouvrir au menu. Comme vous le savez, l'alcool est un bien précieux, la réserve de l'hôtel est fermée à double tour et une porte barrée d'une barre en diagonale protège ce trésor des tentations.
Tout es vraiment mis en place pour le confort des membres du personnel, les règles d’hygiène sont strictes et on peut ne pas avoir peur de ce côté là. L'eau est dessalée et les bouteilles sont purifiées dans une chambre aseptisée. Tout est géré comme sur un bateau. Mais les aliments et boissons que nous y trouvons ne sont pas trouvables dans les îles publiques. Donc la population et les hôtels ont des filières de douane différentes.
Nous n'avons pas essayé la formule à la carte qui demande un petit supplément, tant les mets proposés nous comblaient amplement.
La formule buffet qui nous était allouée offrait sans limite de quantité la nourriture. Il est important d'éviter le gaspillage car la population locale ne peut en avoir autant que nous. Donc évitez de jeter la nourriture qui est sur votre assiette. Si vous ne connaissez pas le mets, prenez en un minimum pour que vous soyez capable de le manger même si vous n'appréciez pas. Si vous êtes servi par le personnel il se met un point d'honneur d'être plus que généreux en vous remplissant votre assiette. N'hésitez pas à demander le minimum, quitte à venir vous resservir. Pratique semble-t-il étrange pour eux qu'on demande peu alors que beaucoup est possible. Mais après la poubelle est là. Alors par respect svp insistez à la modération. Après deux ou trois déboires le serveur vous connaîtra et vous donnera la quantité que vous jugerez adaptée à votre estomac, cela sans un mot de votre part.
Pour les activités des soirées, nous pouvons vous dire qu'elles sont hebdomadaires.
Les légumes et fruits de base sont cultivés sur une île proche d'où nous étions avec des techniques dignes de l’aérospatial. Peut-être un peu trop de fertilisants mais n'étant pas agronome je ne peux juger. Dés que vous avez une remarque, l'équipe de gestion en prend immédiatement compte pour améliorer la situation.
Nous rions des Asiatiques avec leur manière de se couvrir le corps dans l'eau. Figurez-vous qu'ils ont bien raison. Car notre peau résiste peu au soleil du coin. Après un après-midi de pataugeoire parmi les poissons vous avez un sacré coup de soleil sur le dos et jambes malgré la crème solaire. Alors n'hésitez pas à avoir un vieux vêtement pour vous couvrir le dos. Le mieux est votre gilet de sauvetage car vous flottez sans fatigue.
Il est à noter qu'après les dégâts cutanés, le service hôtelier est des plus aimables et serviables, il vous offre paracétamol et crèmes après solaire. Cela est vraiment bien de leur part pour notre confort. Alors que nous avions la crème, un médicament - avant de dormir durant deux nuits après la première nuit blanche - a été grandement utile au sommeil.
Sachez qu'il y a un médecin sur place qui fournit les soins gracieusement et d'une manière très professionnelle car il a été formé en Russie et là la médecine est très stricte. Aussi, si c'est plus grave, vous êtes à une heure de l’hôpital.
Une autre chose à laquelle il faut faire attention, c'est boire la tasse d'eau de mer. La concentration est très importante, si vous avez bu de l'eau salée, ne la recrachez pas car elle vous brûle deux fois le gosier! Si cela vous arrive, le médecin vous donne un médicament et en deux jours vous êtes remis sur pied. Il est primordial d'aller immédiatement le demander sinon nuit blanche assurée... avec tous les symptômes d'un bon rhume avec le nez qui coule alors que ce n'est que le corps qui veux recréer les muqueuses raclées par l'eau.
Photo (c) MBCI
Le pourboire est apprécié mais doit rester raisonnable. Seul les bagagistes sont un peu perdus semble-t-il, on sent dans leur attitude et yeux larmoyants qu'ils implorent un petit dû. Si vous n'avez pas de quoi sur vous, vous leur demandez leur numéro et à la réception ils iront chercher votre présent. La réception vous donnera les montants d'usage. Souvent vous ne les voyez qu'une fois car ils sont nombreux donc pensez à tous. Le service de chambre, le serveur de table vous est attitré si vous ne changez pas de place. Chose qui est possible suivant l'humeur des invités qui sont mobiles ou non quand vous choisissez une table. Probablement que la politique est différente quand c'est plein ou non à l'heure que vous arrivez pour les repas.
Une chose qui est bien c'est la politique de ré-végétation de l'île. Il y a une serre qui abrite des plantes florales des plus luxuriantes. Un petit détour vaut vraiment la peine.
L'équipe de jardiniers vient quotidiennement vous offrir une noix de coco de l'île qui peut même être cueillie sous vos yeux. Un petit geste financier libre de votre part est bien vu, c'est leur manière d'avoir un petit quelque chose mais c'est vraiment pas ressenti comme une obligation.
Nous avons assisté au plantage de palmier, comme nous avons été intéressés à la végétation des lieux et par les petites plaques éparses portant des noms et nationalité. Une amie du groupe a demandé comment on avait sa plaque et à notre surprise, le jardinier dit: "vous en voulez une?" Cette amie a dit oui. Le soir une belle lettre confirme que le lendemain à mon chalet la demanderesse et moi allions planter un palmier. C'est plus sur le fond l'importance de la chose, la forme, je n'ai pas trop bien compris ce cérémonial, d'avoir une trace de la sorte. Mais c'est une anecdote sympathique à raconter. Il faut avouer aussi que nous nous sommes amusés à voir les nationalités des personnes...
La journée est composée de découvertes nautiques, petites marches autour de l’île, discussions entre les amis ou autres touristes. Les membres du personnel sont très sympathiques, on apprend vraiment beaucoup de choses en discutant avec eux. Il y a les excursions. Nous en avons choisi deux. Celle des tortues et la visite d’autres récifs. Il faut accepter les aléas de la nature, c’est loin d’être un parc d’attractions où tout est programmé. Par exemple nous n’avons pas vu de tortues mais des dauphins alors que les participants à l’excursion dauphin n’en ont pas vu… c’est la surprise du jour. Bien que le but principal est aléatoire, l’accompagnement prend toute sa valeur. Car la découverte du milieu est si riche en émotions que le programme initial est vite oublié si pas obtenu. Il nous a été possible de visiter l’île potagère de l’hôtel, un délicieux repas nous y a été donné. Malheureusement pas les boissons... Cependant je leur ai suggéré de demander 5 € de plus l’excursion et de l’inclure, à vous de voir s’ils ont suivi mon idée ou pas. Quand vous participez au périple n’hésitez pas à suivre le guide car il vous montre des tas de choses que votre œil ne voit pas. Il va chercher dans les rocailles les poissons qu’il fait sortir pour votre plus grand bonheur. Malheureusement, ce n’est pas que l’animal qui prend dans sa main mais parfois des plastiques ou cordage… vous ne les verrez plus car ils sont ramassés mais d’autres seront là. Chaque mois tous le personnel a une obligation de participer à la journée de propreté. Un site bien défini est alors nettoyé. Alors que le personnel de l’île a bien compris l’enjeu de la propreté, la population locale commence seulement à y consacrer du temps. Des accords avec d’autres pays comme l’Australie sont prêts à accueillir toute la population du pays en cas de perte de terre. Il est heureux de constater qu’ils ne sont pas défaitistes et prennent de plus en plus soin de leur milieu.
Il y a aussi des cérémonies de mariage qui ce dévoilent au détour d'un petit chemin. Là tout le personnel en habit traditionnel monte une superbe structure où les vœux sont échangés pour la première fois ou renouvelés, accompagnés de musique et surprises de bon aloi.
Une chose qui est bien c'est la politique de ré-végétation de l'île. Il y a une serre qui abrite des plantes florales des plus luxuriantes. Un petit détour vaut vraiment la peine.
L'équipe de jardiniers vient quotidiennement vous offrir une noix de coco de l'île qui peut même être cueillie sous vos yeux. Un petit geste financier libre de votre part est bien vu, c'est leur manière d'avoir un petit quelque chose mais c'est vraiment pas ressenti comme une obligation.
Nous avons assisté au plantage de palmier, comme nous avons été intéressés à la végétation des lieux et par les petites plaques éparses portant des noms et nationalité. Une amie du groupe a demandé comment on avait sa plaque et à notre surprise, le jardinier dit: "vous en voulez une?" Cette amie a dit oui. Le soir une belle lettre confirme que le lendemain à mon chalet la demanderesse et moi allions planter un palmier. C'est plus sur le fond l'importance de la chose, la forme, je n'ai pas trop bien compris ce cérémonial, d'avoir une trace de la sorte. Mais c'est une anecdote sympathique à raconter. Il faut avouer aussi que nous nous sommes amusés à voir les nationalités des personnes...
La journée est composée de découvertes nautiques, petites marches autour de l’île, discussions entre les amis ou autres touristes. Les membres du personnel sont très sympathiques, on apprend vraiment beaucoup de choses en discutant avec eux. Il y a les excursions. Nous en avons choisi deux. Celle des tortues et la visite d’autres récifs. Il faut accepter les aléas de la nature, c’est loin d’être un parc d’attractions où tout est programmé. Par exemple nous n’avons pas vu de tortues mais des dauphins alors que les participants à l’excursion dauphin n’en ont pas vu… c’est la surprise du jour. Bien que le but principal est aléatoire, l’accompagnement prend toute sa valeur. Car la découverte du milieu est si riche en émotions que le programme initial est vite oublié si pas obtenu. Il nous a été possible de visiter l’île potagère de l’hôtel, un délicieux repas nous y a été donné. Malheureusement pas les boissons... Cependant je leur ai suggéré de demander 5 € de plus l’excursion et de l’inclure, à vous de voir s’ils ont suivi mon idée ou pas. Quand vous participez au périple n’hésitez pas à suivre le guide car il vous montre des tas de choses que votre œil ne voit pas. Il va chercher dans les rocailles les poissons qu’il fait sortir pour votre plus grand bonheur. Malheureusement, ce n’est pas que l’animal qui prend dans sa main mais parfois des plastiques ou cordage… vous ne les verrez plus car ils sont ramassés mais d’autres seront là. Chaque mois tous le personnel a une obligation de participer à la journée de propreté. Un site bien défini est alors nettoyé. Alors que le personnel de l’île a bien compris l’enjeu de la propreté, la population locale commence seulement à y consacrer du temps. Des accords avec d’autres pays comme l’Australie sont prêts à accueillir toute la population du pays en cas de perte de terre. Il est heureux de constater qu’ils ne sont pas défaitistes et prennent de plus en plus soin de leur milieu.
Il y a aussi des cérémonies de mariage qui ce dévoilent au détour d'un petit chemin. Là tout le personnel en habit traditionnel monte une superbe structure où les vœux sont échangés pour la première fois ou renouvelés, accompagnés de musique et surprises de bon aloi.
Pour que nous ayons une merveilleuse carte postale dans les yeux bien réelle et non virtuelle
Photo (c) MBCI
Votre valise doit avoir de la crème avant et après solaire. Masque à votre taille, payez plus cher pour qu'il soit bien adapté à votre visage, toutes vos visites aquatiques en dépendent.
Alors quand il y a un temps nuageux la visite sous-marine vaut la peine pour se rendre compte l'importance du soleil pour avoir une visibilité carte postale. Les nuages transforment radicalement la visibilité et luminosité des fonds qui deviennent du coup plus fort et mystérieux. Les poissons sont là mais plus masqués dans le paysage. Leurs mimétismes est bluffant.
Un adaptateur électrique est très utile pour les prises britanniques qui ornent les pièces. Si vous en avez oublié la réception vous en fournira.
Casquette, chaussures ou sandales de mer car il y a des rochers et notre peau fragile se coupe facilement.
Palmes pas indispensables mais extrêmement utiles pour avancer sans fatigue. Le tuba et lunettes de soleil indispensables, en option un appareil photographique étanche pour des photographies sous-marines.
Alors quand il y a un temps nuageux la visite sous-marine vaut la peine pour se rendre compte l'importance du soleil pour avoir une visibilité carte postale. Les nuages transforment radicalement la visibilité et luminosité des fonds qui deviennent du coup plus fort et mystérieux. Les poissons sont là mais plus masqués dans le paysage. Leurs mimétismes est bluffant.
Un adaptateur électrique est très utile pour les prises britanniques qui ornent les pièces. Si vous en avez oublié la réception vous en fournira.
Casquette, chaussures ou sandales de mer car il y a des rochers et notre peau fragile se coupe facilement.
Palmes pas indispensables mais extrêmement utiles pour avancer sans fatigue. Le tuba et lunettes de soleil indispensables, en option un appareil photographique étanche pour des photographies sous-marines.
Le retour
Le retour se passe d'une manière des plus calmes car il est préférable de loger la veille à la capitale Malé dans l'hôtel à deux pas de l'aéroport, ce qui permet de pouvoir y aller dans toutes conditions météorologiques, toutes les heures une navette gratuite de l'hôtel vous amène sur l'île de Malè. Cette capitale est très condensée. Les prix des articles sont exorbitants dans les magasins les plus en vue. La boutique souvenirs de l'hôtel est moins chère, si vous cherchez la petite gargote, vous y gagnez un peu.
Les temps de prières sont sacrés et coupent la vie une vingtaine de minutes durant celle-ci. Les magasins ferment purement et simplement, rassurez-vous vous n'êtes pas mis dehors si vous marchandez ou cherchez un article mais personne d'autres ne rentrera et attendra sur le trottoir.
Avant, le pays était hindouiste. Puis dans le passé, chaque semaine deux-trois jeunes filles étaient tuées d'une manière éparse dans les îles. C'était une calamité. Un jour un souverain marocain se rendit auprès du roi d'alors. Celui-ci lui raconta le malheur de sa population. Le souverain maghrébin sourit: "Mon ami j'ai la solution". Le roi tout heureux lui demanda laquelle? Il lui répondit: "Tu te convertis à l'islam avec ton peuple et les tueries s'arrêteront, je te le promets". Ainsi fut fait la conversion du peuple des Maldives et depuis ils le sont restés.
Alors pour répondre à la question s’il faut pleurer de ne pouvoir y aller? Trois fois non. Maintenant les technologies, les expositions et les musées mettent les choses en valeur avec tant de finesse et les écrans HD donnent une image des plus remarquables. Vraiment, vous voyez souvent bien mieux à la télévision, au musée ou dans un livre la faune et la flore du monde. Sur la reproduction vous voyez un immense poisson avec tous les détails tandis que dans la nature il est tout petit et file vite entre les roches…
Bien entendu, rien ne vaut le ressenti du mélange de tous ses sens dans le milieu naturel, il est vrai que le monde est si beau. Mais nos latitudes sont si belles aussi, ouvrez les yeux autour de vous et dites-vous qu’on vient de loin aussi pour voir ce que vous avez devant vous chaque jour. L’herbe semble toujours plus verte hors de la clôture.
Mais si vous le pouvez, n’hésitez pas suivre le chemin de votre cœur vers la destination des Maldives… Bon voyage!
Les temps de prières sont sacrés et coupent la vie une vingtaine de minutes durant celle-ci. Les magasins ferment purement et simplement, rassurez-vous vous n'êtes pas mis dehors si vous marchandez ou cherchez un article mais personne d'autres ne rentrera et attendra sur le trottoir.
Avant, le pays était hindouiste. Puis dans le passé, chaque semaine deux-trois jeunes filles étaient tuées d'une manière éparse dans les îles. C'était une calamité. Un jour un souverain marocain se rendit auprès du roi d'alors. Celui-ci lui raconta le malheur de sa population. Le souverain maghrébin sourit: "Mon ami j'ai la solution". Le roi tout heureux lui demanda laquelle? Il lui répondit: "Tu te convertis à l'islam avec ton peuple et les tueries s'arrêteront, je te le promets". Ainsi fut fait la conversion du peuple des Maldives et depuis ils le sont restés.
Alors pour répondre à la question s’il faut pleurer de ne pouvoir y aller? Trois fois non. Maintenant les technologies, les expositions et les musées mettent les choses en valeur avec tant de finesse et les écrans HD donnent une image des plus remarquables. Vraiment, vous voyez souvent bien mieux à la télévision, au musée ou dans un livre la faune et la flore du monde. Sur la reproduction vous voyez un immense poisson avec tous les détails tandis que dans la nature il est tout petit et file vite entre les roches…
Bien entendu, rien ne vaut le ressenti du mélange de tous ses sens dans le milieu naturel, il est vrai que le monde est si beau. Mais nos latitudes sont si belles aussi, ouvrez les yeux autour de vous et dites-vous qu’on vient de loin aussi pour voir ce que vous avez devant vous chaque jour. L’herbe semble toujours plus verte hors de la clôture.
Mais si vous le pouvez, n’hésitez pas suivre le chemin de votre cœur vers la destination des Maldives… Bon voyage!