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L’annonce arrive après des mois de polémiques sur le traitement réservé aux employés du groupe et des accusations de harcèlement sexuel, ainsi qu’une vidéo de Travis Kalanick lui-même agressant verbalement un chauffeur Uber en février 2017. Véritable loup solitaire, ce surdoué de l’informatique, non diplômé, faisait figure de personnalité atypique et borderline dans le monde de l’entreprise.
Cette nouvelle montre la volonté et le besoin de l’une des plus importante start-up au monde, crée en 2009, et pesant aujourd’hui plus de 70 milliards de dollars, de surmonter ses problèmes de culture d’entreprise. Elle fait suite à la pression de cinq de ses plus grands investisseurs demandant sa démission après l’annonce de Travis Kalanick le 13 juin 2017 de prendre un congé à durée indéterminée suite à des problèmes personnels.
Le comité de direction du groupe a annoncé dans un communiqué mardi 20 mai 2017: "Travis a toujours placé Uber en priorité. C’est une décision sage et un signe de dévotion et d’amour envers Uber". Dans une déclaration faite au New York Times Mr Kalanick déclare: "j’ai accepté la demande des investisseurs de me retirer définitivement afin que Uber puisse se concentrer à se construire au lieu d’être distrait par un nouveau combat". Il avait précédemment reconnu dans un courrier adressé au personnel le 13 juin 2017 qu’il était temps pour lui de "fondamentalement changer et grandir", et de penser à "Uber 2.0" tout comme à "Travis 2.0".
Le groupe connait un tournant dans son évolution et doit reconstruire son image et son fonctionnement interne après de nombreuses plaintes concernant les revenus trop faibles des chauffeurs ainsi que de harcèlement moral et harcèlement sexuel dans l’entreprise. Uber combat également actuellement une enquête ouverte en février 2017 suite à une accusation de vol technologique de la part du groupe Waymo, détenu par Google.
Lundi 19 mai 2017, le comité de direction d’Uber a lancé un programme de réformes sur six mois incluant notamment la permission aux chauffeurs de recevoir des pourboires via l’application, ce sur quoi le groupe avait toujours été réfractaire.
Cette nouvelle montre la volonté et le besoin de l’une des plus importante start-up au monde, crée en 2009, et pesant aujourd’hui plus de 70 milliards de dollars, de surmonter ses problèmes de culture d’entreprise. Elle fait suite à la pression de cinq de ses plus grands investisseurs demandant sa démission après l’annonce de Travis Kalanick le 13 juin 2017 de prendre un congé à durée indéterminée suite à des problèmes personnels.
Le comité de direction du groupe a annoncé dans un communiqué mardi 20 mai 2017: "Travis a toujours placé Uber en priorité. C’est une décision sage et un signe de dévotion et d’amour envers Uber". Dans une déclaration faite au New York Times Mr Kalanick déclare: "j’ai accepté la demande des investisseurs de me retirer définitivement afin que Uber puisse se concentrer à se construire au lieu d’être distrait par un nouveau combat". Il avait précédemment reconnu dans un courrier adressé au personnel le 13 juin 2017 qu’il était temps pour lui de "fondamentalement changer et grandir", et de penser à "Uber 2.0" tout comme à "Travis 2.0".
Le groupe connait un tournant dans son évolution et doit reconstruire son image et son fonctionnement interne après de nombreuses plaintes concernant les revenus trop faibles des chauffeurs ainsi que de harcèlement moral et harcèlement sexuel dans l’entreprise. Uber combat également actuellement une enquête ouverte en février 2017 suite à une accusation de vol technologique de la part du groupe Waymo, détenu par Google.
Lundi 19 mai 2017, le comité de direction d’Uber a lancé un programme de réformes sur six mois incluant notamment la permission aux chauffeurs de recevoir des pourboires via l’application, ce sur quoi le groupe avait toujours été réfractaire.