Microsoft a été condamné à une amende de 561 millions d'euros pour non respect de ses engagements en terme de concurrence
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Le commissaire européen à la Concurrence, Joaquin Almunia avait mis en garde fin septembre 2012 le groupe de logiciels Microsoft, qu'en raison des engagements pris à l'amiable en 2009 non tenus, il y aurait sanction, pour ne pas avoir offert jusqu'en 2014 aux internautes un écran multichoix dit "Ballot screen", leur permettant de sélectionner facilement un navigateur et de mettre ainsi un terme à la vente liée d’Internet Explorer et de Windows.
A cette facture de 561 millions d'euros pour l'entreprise de Steve Ballmer - qui n'en est pas à sa première contravention -, s'ajoutent les condamnations pécuniaires de 2004 pour un montant de 497 millions d'euros, puis en 2008 déjà pour non-respect des règles de la concurrence la somme de 860 millions d'euros. Soit au total en moins de dix ans, Microsoft a cumulé près de deux milliards d'euros d’amendes... une addition record en la matière!
A Bruxelles, d'autres tractations pour de mêmes accusations seraient en cours afin de concilier "un accord amiable" avec d'autres géants de l'Internet, comme Google. Le vice-président de la Commission Européenne et commissaire à la Concurrence, lors de son allocution de mercredi 6 mars 2013 a souligné: "Les engagements pris par les entreprises elles-mêmes sont une bonne manière de résoudre les problèmes de concurrence (...), mais cela ne peut fonctionner que si respectent ces engagements à la lettre".
A cette facture de 561 millions d'euros pour l'entreprise de Steve Ballmer - qui n'en est pas à sa première contravention -, s'ajoutent les condamnations pécuniaires de 2004 pour un montant de 497 millions d'euros, puis en 2008 déjà pour non-respect des règles de la concurrence la somme de 860 millions d'euros. Soit au total en moins de dix ans, Microsoft a cumulé près de deux milliards d'euros d’amendes... une addition record en la matière!
A Bruxelles, d'autres tractations pour de mêmes accusations seraient en cours afin de concilier "un accord amiable" avec d'autres géants de l'Internet, comme Google. Le vice-président de la Commission Européenne et commissaire à la Concurrence, lors de son allocution de mercredi 6 mars 2013 a souligné: "Les engagements pris par les entreprises elles-mêmes sont une bonne manière de résoudre les problèmes de concurrence (...), mais cela ne peut fonctionner que si respectent ces engagements à la lettre".