Sous l’armure. Paroles et musique: Pauline Audigier. Interprète: Leopoldine (2015)
Leopoldine Sous l'armure (505.51 Ko)
La jeune chanteuse - de son vrai nom Pauline Audigier - a choisi comme pseudo artistique Leopoldine, en référence à la pianiste-compositrice autrichienne Léopoldine Blahetka, à Victor Hugo (dont le décès de sa fille Léopoldine a hanté nombre de ces poèmes) et enfin à une comptine de 2012 du groupe français EZ3kiel.
Leopoldine est ainsi sortie de sa solitude de compositrice en osant faire écouter pour la première fois ses créations lors du Tremplin DeLaZic 2012 à Clermont-Ferrand (63), où elle remporte le second prix. Une première scène qui lui offre un précieux sésame pour se produire de plus en plus souvent face au public. En 2013 elle confectionne son premier EP.
C’est en 2014 que Leopoldine se fait remarquer par France Inter pour participer à un nouveau concours réservé aux auteurs-compositeurs-interprètes, avec André Manoukian et Didier Varrod dans le jury. La candidate se hissera jusqu'en demi-finale.
Cette ascension parisienne lui permet de se lancer dans l’enregistrement d’un deuxième album électro-pop, cette fois très majoritairement écrit en français, réalisé en étroites collaboration avec ses musiciens: David Verdier, Benjamin Tessier, Thomas Duprè, Guillaume Bongiraud et l’arrangeur Cyrille Dufay.
La réussite de la jeune artiste donnera-t-elle envie à l'industrie du disque d'investir un peu plus audacieusement dans sa création musicale? En tous les cas, le talent émergent de cette auteure-compositrice mériterait d'être distribuer par un grand label.
En tant que vedette à part entière, représentant la chanson française, Leopoldine était ce 8 décembre 2015 sur la scène du célèbre cabaret parisien "Les trois baudets".
Ô tu bombes le torse, t’es beau mais t’as perdu le nord
Ô quelle vie de voyages, des ruées, sans jamais trouver l’or
A quoi bon les médailles, les parures et les charmes
Si le doute s’installe
A quoi bon les prouesses, la droiture ou l’ivresse
Si ton âme met les voiles
J’ai jamais cru à tes allures de grand destin, du fond de teint
Je vois bien là sous l’armure tes fêlures et ton chagrin
Ô tu courbes le dos, t’es beau mais t’as peur de l’aurore
Ô quelle nuit de doux songes, d’envies, à en perdre le nord
A quoi bon les espoirs, les désirs qui désarment
Si le doute s’installe
A quoi bon la sagesse, la retenue qui oppresse
Si l’écorce met les voiles
J’ai jamais cru à tes allures de vaurien, de sous-marin
Je vois bien là sous l’armure l’or que tu caches en vain
Ô j’ai ouvert les yeux, t’es beau mais pas prêt d’être heureux
Ô quelle vie de mirages, de gris, et d’oubli d’être deux
A quoi bon les promesses, les moues de déesses
Si le doute s’installe
Et même si c’est un peu trop tard et que ça finit mal
Si mon cœur met les voiles
Sache que j’ai cru à nos allures de gens bien, nos grands desseins
Je cache bien là sous l’armure la morsure et le venin
Les paroles des chansons sont la propriété de leurs auteurs. Leur commercialisation est interdite.
Leopoldine est ainsi sortie de sa solitude de compositrice en osant faire écouter pour la première fois ses créations lors du Tremplin DeLaZic 2012 à Clermont-Ferrand (63), où elle remporte le second prix. Une première scène qui lui offre un précieux sésame pour se produire de plus en plus souvent face au public. En 2013 elle confectionne son premier EP.
C’est en 2014 que Leopoldine se fait remarquer par France Inter pour participer à un nouveau concours réservé aux auteurs-compositeurs-interprètes, avec André Manoukian et Didier Varrod dans le jury. La candidate se hissera jusqu'en demi-finale.
Cette ascension parisienne lui permet de se lancer dans l’enregistrement d’un deuxième album électro-pop, cette fois très majoritairement écrit en français, réalisé en étroites collaboration avec ses musiciens: David Verdier, Benjamin Tessier, Thomas Duprè, Guillaume Bongiraud et l’arrangeur Cyrille Dufay.
La réussite de la jeune artiste donnera-t-elle envie à l'industrie du disque d'investir un peu plus audacieusement dans sa création musicale? En tous les cas, le talent émergent de cette auteure-compositrice mériterait d'être distribuer par un grand label.
En tant que vedette à part entière, représentant la chanson française, Leopoldine était ce 8 décembre 2015 sur la scène du célèbre cabaret parisien "Les trois baudets".
Ô tu bombes le torse, t’es beau mais t’as perdu le nord
Ô quelle vie de voyages, des ruées, sans jamais trouver l’or
A quoi bon les médailles, les parures et les charmes
Si le doute s’installe
A quoi bon les prouesses, la droiture ou l’ivresse
Si ton âme met les voiles
J’ai jamais cru à tes allures de grand destin, du fond de teint
Je vois bien là sous l’armure tes fêlures et ton chagrin
Ô tu courbes le dos, t’es beau mais t’as peur de l’aurore
Ô quelle nuit de doux songes, d’envies, à en perdre le nord
A quoi bon les espoirs, les désirs qui désarment
Si le doute s’installe
A quoi bon la sagesse, la retenue qui oppresse
Si l’écorce met les voiles
J’ai jamais cru à tes allures de vaurien, de sous-marin
Je vois bien là sous l’armure l’or que tu caches en vain
Ô j’ai ouvert les yeux, t’es beau mais pas prêt d’être heureux
Ô quelle vie de mirages, de gris, et d’oubli d’être deux
A quoi bon les promesses, les moues de déesses
Si le doute s’installe
Et même si c’est un peu trop tard et que ça finit mal
Si mon cœur met les voiles
Sache que j’ai cru à nos allures de gens bien, nos grands desseins
Je cache bien là sous l’armure la morsure et le venin
Les paroles des chansons sont la propriété de leurs auteurs. Leur commercialisation est interdite.
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