Interview: Impressions de l’équipage à quelques jours du départ
Illustration proposée par l'auteur
Sébastien et Thibault, à peine quelques semaines après votre titre de vice-champion de France Junior, vous voilà déjà sur les routes du célèbre Rallye Monte-Carlo! Comment s’est prise la décision de courir cette mythique épreuve?
L’idée de participer au Rallye Monte Carlo est née l’année dernière. A cette même époque, nous étions parmi les 100 équipages sélectionnés. Mais pour des raisons financières, nous n’avions pu malheureusement conclure le projet. Cette année, grâce à divers partenaires locaux, en récompense à notre saison passée, nous serons au départ. Pouvoir participer au mythique Rallye Monte-Carlo dans le cadre de son retour en championnat du Monde n’est que plus gratifiant pour nous!
Vous partirez donc à l’assaut de ce difficile rallye au volant d’une auto que vous connaissez, la Renault Clio R3. Quels seront vos objectifs au volant de cette deux roues motrices?
Oui effectivement, nous connaissons la Renault R3 pour avoir remporté le rallye Grasse Alpin avec, dans le cadre du trophée Clio R3 France. C’est une voiture très performante, qui est arrivée maintenant à son stade final de développement et qui procure d’excellentes sensations. Notre objectif sera bien évidemment de bien figurer tout au long du rallye et de se battre pour la victoire au classement 2 roues motrices. Avec la présence de références telles que Cédric Robert et Nelson Panciatici pour ne citer qu’eux, le challenge est de taille!
En vous engageant pour la 80ème édition du Rallye de Monte Carlo, vous entrez dans la légende... Comment prépare-t-on une épreuve si mythique, et comment gère-t-on la pression à quelques jours des premières spéciales?
Effectivement... Une légende... Un monument même! Avec plus de 400 kms et 11 spéciales différentes reparties en 5 jours, la tâche s’annonce ardue. Le Monte-Carlo est un rallye d’endurance, il se court un peu comme les 24H du Mans. Il ne faut pas simplement être performant, il faut maintenir le rythme tout au long des 5 jours de course, tout en privilégiant la mécanique, car cette année il n’y aura pas super-rallye. Concernant la préparation, nous travaillons activement le visionnage des spéciales par caméra, le nombre de passage de reconnaissances étant limité à 2 en WRC. Niveau préparation physique, nous nous sommes également beaucoup entraînés avec Thibault durant cette trêve hivernale, notamment à la montagne, nous sommes donc désormais prêts pour continuer à écrire l’histoire de Chardonnet en Rallye...
L’idée de participer au Rallye Monte Carlo est née l’année dernière. A cette même époque, nous étions parmi les 100 équipages sélectionnés. Mais pour des raisons financières, nous n’avions pu malheureusement conclure le projet. Cette année, grâce à divers partenaires locaux, en récompense à notre saison passée, nous serons au départ. Pouvoir participer au mythique Rallye Monte-Carlo dans le cadre de son retour en championnat du Monde n’est que plus gratifiant pour nous!
Vous partirez donc à l’assaut de ce difficile rallye au volant d’une auto que vous connaissez, la Renault Clio R3. Quels seront vos objectifs au volant de cette deux roues motrices?
Oui effectivement, nous connaissons la Renault R3 pour avoir remporté le rallye Grasse Alpin avec, dans le cadre du trophée Clio R3 France. C’est une voiture très performante, qui est arrivée maintenant à son stade final de développement et qui procure d’excellentes sensations. Notre objectif sera bien évidemment de bien figurer tout au long du rallye et de se battre pour la victoire au classement 2 roues motrices. Avec la présence de références telles que Cédric Robert et Nelson Panciatici pour ne citer qu’eux, le challenge est de taille!
En vous engageant pour la 80ème édition du Rallye de Monte Carlo, vous entrez dans la légende... Comment prépare-t-on une épreuve si mythique, et comment gère-t-on la pression à quelques jours des premières spéciales?
Effectivement... Une légende... Un monument même! Avec plus de 400 kms et 11 spéciales différentes reparties en 5 jours, la tâche s’annonce ardue. Le Monte-Carlo est un rallye d’endurance, il se court un peu comme les 24H du Mans. Il ne faut pas simplement être performant, il faut maintenir le rythme tout au long des 5 jours de course, tout en privilégiant la mécanique, car cette année il n’y aura pas super-rallye. Concernant la préparation, nous travaillons activement le visionnage des spéciales par caméra, le nombre de passage de reconnaissances étant limité à 2 en WRC. Niveau préparation physique, nous nous sommes également beaucoup entraînés avec Thibault durant cette trêve hivernale, notamment à la montagne, nous sommes donc désormais prêts pour continuer à écrire l’histoire de Chardonnet en Rallye...
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