Six courses à découvrir
Les coureurs avaient l’embarras du choix : six courses différentes étaient en effet proposées cette année. Samedi, les premiers à s’élancer étaient les participants du trail de l’Archange. Pour cette épreuve au plus près de la nature, le départ était donné à Saint-Pair-Sur-Mer. Les coureurs avaient alors 53 km à parcourir le long du littoral avec 800 m de dénivelé positif pour rejoindre la ligne d’arrivée située au cœur du Mont-Saint-Michel. Chez les hommes, c’est Félix Lebeurier qui termine en tête en 3h52 tandis que chez les femmes Nathalie Kirchner s’illustre en 4h44.
Un peu plus tard dans la matinée, le coup de feu de départ retentissait en même temps pour les coureurs du 10 km et du semi-marathon, qui devaient effectuer un parcours en boucle autour de la commune de Pontorson. Le Britannique Adam Millbery termine le 10 km sur la plus haute marche du podium en 33 minutes. Chez les femmes, Leaharna arrive en tête en 40 minutes. Quant au semi-marathon, les vainqueurs sont Lionel Irimbere en 1h12 et Sylvie Gourdel en 1h27.
En début d’après-midi, ce sont les enfants âgés de 5 à 10 ans qui s’élançaient pour la Pitch Marathoon’s dans le centre-ville de Pontorson. Les plus petits avaient 800 m à parcourir, tandis que les "Grands Marathooniens" devaient doubler la distance. L’occasion de transmettre les valeurs du sport aux plus jeunes qui repartaient fièrement leur médaille autour du cou !
Enfin, dimanche, jour de la fête des mères, le départ était donné à 8h30 à Cancale pour les concurrents des marathons en solo et en duo (avec un relais au semi). La distance mythique de 42,195 km les amenait à longer la baie en ayant presque toujours le Mont-Saint-Michel en ligne de mire. Ce marathon est ainsi l’un des seuls au monde où l’on aperçoit la ligne d’arrivée avant même de s’élancer ! En solo, les vainqueurs sont Moses Mwarur chez les hommes en 2h17 et Faith Kipsum chez les femmes en 2h42. En duo, ce sont deux frères, Pierre-Antoine et Guillaume Ruel, qui s’illustrent en 2h23.
Un peu plus tard dans la matinée, le coup de feu de départ retentissait en même temps pour les coureurs du 10 km et du semi-marathon, qui devaient effectuer un parcours en boucle autour de la commune de Pontorson. Le Britannique Adam Millbery termine le 10 km sur la plus haute marche du podium en 33 minutes. Chez les femmes, Leaharna arrive en tête en 40 minutes. Quant au semi-marathon, les vainqueurs sont Lionel Irimbere en 1h12 et Sylvie Gourdel en 1h27.
En début d’après-midi, ce sont les enfants âgés de 5 à 10 ans qui s’élançaient pour la Pitch Marathoon’s dans le centre-ville de Pontorson. Les plus petits avaient 800 m à parcourir, tandis que les "Grands Marathooniens" devaient doubler la distance. L’occasion de transmettre les valeurs du sport aux plus jeunes qui repartaient fièrement leur médaille autour du cou !
Enfin, dimanche, jour de la fête des mères, le départ était donné à 8h30 à Cancale pour les concurrents des marathons en solo et en duo (avec un relais au semi). La distance mythique de 42,195 km les amenait à longer la baie en ayant presque toujours le Mont-Saint-Michel en ligne de mire. Ce marathon est ainsi l’un des seuls au monde où l’on aperçoit la ligne d’arrivée avant même de s’élancer ! En solo, les vainqueurs sont Moses Mwarur chez les hommes en 2h17 et Faith Kipsum chez les femmes en 2h42. En duo, ce sont deux frères, Pierre-Antoine et Guillaume Ruel, qui s’illustrent en 2h23.
Une ambiance prévue festive entachée par le drame du semi
Run in MSM.mp3 (1.41 Mo)
Toutes les conditions étaient réunies pour que l’ambiance soit festive : des départs donnés en musique, des milliers de supporters, 500 bénévoles, des fanfares et groupes le long des parcours, des paysages à couper le souffle, des stands de ravitaillement où les encouragements pleuvaient, des photographes, des banderoles et panneaux pour booster la motivation des sportifs, des médailles et cadeaux à l’arrivée de chaque course…
Malheureusement le semi-marathon s’est fini en drame. Un coureur de 21 ans a fait un arrêt cardio-respiratoire au 20e kilomètre et n’a pu être réanimé malgré une prise en charge rapide par des coureurs formés aux gestes d’urgence puis par les secours. Originaire de Saint-Brieuc dans les Côtes-d’Armor, le jeune homme participait à son premier semi-marathon avec un ami. Les organisateurs ont rappelé que les malaises étaient fréquents dans ce genre d’épreuves poussant les organismes parfois au-delà de leurs limites, et ce malgré une visite médicale obligatoire puisque les dossards n’étaient donnés que sur présentation d’un certificat médical d’aptitude à la course à pieds. La course n’a cependant pas été interrompue puisque selon Thomas Delpuech, responsable des épreuves pour Amaury Sport Organisation (ASO) : "Ce serait dangereux d'arrêter les coureurs à des points où ils ne peuvent pas être pris en charge".
Malheureusement le semi-marathon s’est fini en drame. Un coureur de 21 ans a fait un arrêt cardio-respiratoire au 20e kilomètre et n’a pu être réanimé malgré une prise en charge rapide par des coureurs formés aux gestes d’urgence puis par les secours. Originaire de Saint-Brieuc dans les Côtes-d’Armor, le jeune homme participait à son premier semi-marathon avec un ami. Les organisateurs ont rappelé que les malaises étaient fréquents dans ce genre d’épreuves poussant les organismes parfois au-delà de leurs limites, et ce malgré une visite médicale obligatoire puisque les dossards n’étaient donnés que sur présentation d’un certificat médical d’aptitude à la course à pieds. La course n’a cependant pas été interrompue puisque selon Thomas Delpuech, responsable des épreuves pour Amaury Sport Organisation (ASO) : "Ce serait dangereux d'arrêter les coureurs à des points où ils ne peuvent pas être pris en charge".