Une cagnotte pour Romain (163.09 Ko)
Depuis les premiers mois de vie de Romain, ses parents ont remarqué un aplatissement à l'arrière de sa tête. Le phénomène dit de "tête plate" peut se modifier lors des premiers mois de vie des nouveaux-nés, grâce à la souplesse de leur crâne. Mais chez Romain, la situation persiste et s'accentue malgré les consultations chez le pédiatre et les séances d'ostéopathie. Les parents de Romain décident donc de consulter un chirurgien pédiatre, spécialiste des orthèses crâniennes.
Lors du rendez-vous, le verdict tombe. Le petit garçon est diagnostiqué atteint de plagiocéphalie et brachycéphalie. La première anomalie est une déformation asymétrique sur l'ensemble du crâne de l'enfant. La seconde, sévère chez Romain, est une déformation dû à la pression sur l'arrière du crâne. L'indice crânien permet de mesurer cet aplatissement. Le rapport normal de l'espèce humaine est de 80 mais pour Romain il a été mesuré à 105, ce qui le place en forme sévère de brachycéphalie. La morphologie du crâne du petit garçon est donc inversé: son crâne est plus large que long.
Outre les difficultés esthétiques, Romain risque des troubles cognitifs et psychomoteurs graves. L'arrière de son crâne est comprimé et n'a pas assez de place pour se développer. La seule solution pour réparer la déformation du crâne de Romain c'est de lui faire porter un casque qui va permettre aux parties plates de se développer. Seulement, ce casque spécifique coûte 4.500 euros et n'est pas remboursé par la Sécurité sociale.
Aujourd'hui cette famille lance un appel aux dons via la plateforme Leetchi pour financer le casque de Romain et ainsi lui éviter tous problèmes moteurs ou cognitifs. Toutes les infos sur l'histoire de Romain et la cagnotte sont sur ce lien qui lui est dédié.
Le phénomène dit de "tête plate" est en hausse depuis les années '90; une augmentation en parallèle des recommandations de coucher les nouveaux-nés sur le dos pour éviter la mort subite du nourrisson. S'il est essentiel de ne pas coucher son enfant sur le ventre pour cette même cause, certains médecins spécialistes de l'enfance incitent à coucher alternativement l'enfant en position latérale lors de ses premiers mois, une période de haut risque. Il s'agit également de la meilleure prévention contre les déformations crâniennes futures, puisque le crâne ne repose jamais sur sa partie arrière.
Lors du rendez-vous, le verdict tombe. Le petit garçon est diagnostiqué atteint de plagiocéphalie et brachycéphalie. La première anomalie est une déformation asymétrique sur l'ensemble du crâne de l'enfant. La seconde, sévère chez Romain, est une déformation dû à la pression sur l'arrière du crâne. L'indice crânien permet de mesurer cet aplatissement. Le rapport normal de l'espèce humaine est de 80 mais pour Romain il a été mesuré à 105, ce qui le place en forme sévère de brachycéphalie. La morphologie du crâne du petit garçon est donc inversé: son crâne est plus large que long.
Outre les difficultés esthétiques, Romain risque des troubles cognitifs et psychomoteurs graves. L'arrière de son crâne est comprimé et n'a pas assez de place pour se développer. La seule solution pour réparer la déformation du crâne de Romain c'est de lui faire porter un casque qui va permettre aux parties plates de se développer. Seulement, ce casque spécifique coûte 4.500 euros et n'est pas remboursé par la Sécurité sociale.
Aujourd'hui cette famille lance un appel aux dons via la plateforme Leetchi pour financer le casque de Romain et ainsi lui éviter tous problèmes moteurs ou cognitifs. Toutes les infos sur l'histoire de Romain et la cagnotte sont sur ce lien qui lui est dédié.
Le phénomène dit de "tête plate" est en hausse depuis les années '90; une augmentation en parallèle des recommandations de coucher les nouveaux-nés sur le dos pour éviter la mort subite du nourrisson. S'il est essentiel de ne pas coucher son enfant sur le ventre pour cette même cause, certains médecins spécialistes de l'enfance incitent à coucher alternativement l'enfant en position latérale lors de ses premiers mois, une période de haut risque. Il s'agit également de la meilleure prévention contre les déformations crâniennes futures, puisque le crâne ne repose jamais sur sa partie arrière.