Voilà donc un disque lumineux, assurément. Il est vrai que Piers Faccini n’a jamais été aussi libre que dans la conception de cet album. Il en a tracé les plans, posé les fondations et dessiné les arrangements chez lui, sur ces hauteurs cévenoles balayées par le silence où il a élu domicile il y a quelques années. Alors qu’il s’en était remis par le passé aux talents de réalisateur de Vincent Segal (sur Leave No Trace) et de JP Plunier, le mentor de Ben Harper (sur Tearing Sky), il a voulu cette fois-ci voler de ses propres ailes.
En solitaire, il a enregistré des démos très avancées des chansons de Two Grains of Sand, avec le simple soutien d’un ami ingénieur du son, Patrick Jauneaud, venu garantir la qualité des prises. Il en a ensuite enrichi les trames mélodiques en leur apposant lignes de basse, claviers, ambiances et samples de batterie mis en boucle. Jamais Piers Faccini n’avait été aussi présent sur tous les plans de la création, jamais il n’avait endossé autant de rôles.
En solitaire, il a enregistré des démos très avancées des chansons de Two Grains of Sand, avec le simple soutien d’un ami ingénieur du son, Patrick Jauneaud, venu garantir la qualité des prises. Il en a ensuite enrichi les trames mélodiques en leur apposant lignes de basse, claviers, ambiances et samples de batterie mis en boucle. Jamais Piers Faccini n’avait été aussi présent sur tous les plans de la création, jamais il n’avait endossé autant de rôles.