Le Palmarès 2009 de la Fondation Prince Pierre
Photo (c) Charly Gallo / CDP
Lauréat du Prix Littéraire :
Pierre Mertens, Réédition Les chutes centrales, Le Grand Miroir, avril 2007
Né en 1939, à Bruxelles, Pierre Mertens écrit des petites pièces dès l’âge de 11 ans. La question algérienne éveille sa conscience politique et il entame des études de droit international à l’Université Libre de Bruxelles, où il dirigera par la suite le Centre de sociologie de la littérature. En 1989, il entre à l’Académie royale de langue et de littérature françaises de Belgique. Il est critique littéraire au quotidien belge Le Soir depuis 1971.
Lauréat de la Bourse de la Découverte :
David Thomas, La patience des buffles sous la pluie, Bernard Pascuito,
David Thomas a 43 ans et vit à Paris. Après avoir été journaliste pendant une quinzaine d’années, il est aujourd’hui auteur dramatique et scénariste. Il est l’auteur de Tais-toi et parle-moi, joué à la Manufacture des Abbesses. Il a travaillé avec Agathe Teyssier aux dialogues de son premier long-métrage, La Femme invisible interprété par Julie Depardieu et Charlotte Rampling, sorti en février 2009.
La patience des buffles sous la pluie a été préfacée par Jean-Paul Dubois, enthousiasmé par le sens de l’observation et l’humour mélancolique de David Thomas dans lequel il s’est reconnu.
Coup de Cœur des Lycéens :
Alma Brami, Sans elle, Mercure de France
"À 23 ans, Alma Brami offre avec ce premier roman un miracle d’équilibre et de justesse. En prenant la voix d’une enfant, elle soulève les questions les plus graves avec les mots les plus simples. Et on ne sait, au fil de la lecture, si elle est une adulte qui sait emprunter les pas d’une enfant, ou une enfant qui possède la lucidité d’une adulte…" (Présentation de l’éditeur)
Lauréat du Prix de Composition Musicale :
Jonathan Harvey pour son œuvre Speakings, pour orchestre et électronique
Né en 1939 à Sutton Coldfield dans le Warckickshire en Angleterre, Jonathan Harvey fut choriste au St-Michael College de Tenbury. La pratique du chant choral laissera toujours en lui l’empreinte de la musique polyphonique de la renaissance. Il étudie le violoncelle, instrument qui sera très présent dans ses créations. Son œuvre couvre tous les genres, musique pour chœur a capella, grand orchestre, ensemble et instrument soliste. Il est considéré comme l’un des compositeurs les plus imaginatifs de musique électroacoustique.
Lauréat du Prix International d'Art Contemporain :
Su-Mei Tse pour son œuvre Some Airing
Née en 1973 au Luxembourg (vit et travaille entre Luxembourg, Paris et Berlin), Su-Mei Tse opère dans son travail une synthèse poétique du son et de l’image qui prend forme dans des médias variés : photographie, vidéo, installation, objets. Elle qui ne cesse de déplacer et d’interroger les angles de vue, travaille une identité harmonique entre des éléments organiques, matériels et culturels à priori inassimilables.
Pierre Mertens, Réédition Les chutes centrales, Le Grand Miroir, avril 2007
Né en 1939, à Bruxelles, Pierre Mertens écrit des petites pièces dès l’âge de 11 ans. La question algérienne éveille sa conscience politique et il entame des études de droit international à l’Université Libre de Bruxelles, où il dirigera par la suite le Centre de sociologie de la littérature. En 1989, il entre à l’Académie royale de langue et de littérature françaises de Belgique. Il est critique littéraire au quotidien belge Le Soir depuis 1971.
Lauréat de la Bourse de la Découverte :
David Thomas, La patience des buffles sous la pluie, Bernard Pascuito,
David Thomas a 43 ans et vit à Paris. Après avoir été journaliste pendant une quinzaine d’années, il est aujourd’hui auteur dramatique et scénariste. Il est l’auteur de Tais-toi et parle-moi, joué à la Manufacture des Abbesses. Il a travaillé avec Agathe Teyssier aux dialogues de son premier long-métrage, La Femme invisible interprété par Julie Depardieu et Charlotte Rampling, sorti en février 2009.
La patience des buffles sous la pluie a été préfacée par Jean-Paul Dubois, enthousiasmé par le sens de l’observation et l’humour mélancolique de David Thomas dans lequel il s’est reconnu.
Coup de Cœur des Lycéens :
Alma Brami, Sans elle, Mercure de France
"À 23 ans, Alma Brami offre avec ce premier roman un miracle d’équilibre et de justesse. En prenant la voix d’une enfant, elle soulève les questions les plus graves avec les mots les plus simples. Et on ne sait, au fil de la lecture, si elle est une adulte qui sait emprunter les pas d’une enfant, ou une enfant qui possède la lucidité d’une adulte…" (Présentation de l’éditeur)
Lauréat du Prix de Composition Musicale :
Jonathan Harvey pour son œuvre Speakings, pour orchestre et électronique
Né en 1939 à Sutton Coldfield dans le Warckickshire en Angleterre, Jonathan Harvey fut choriste au St-Michael College de Tenbury. La pratique du chant choral laissera toujours en lui l’empreinte de la musique polyphonique de la renaissance. Il étudie le violoncelle, instrument qui sera très présent dans ses créations. Son œuvre couvre tous les genres, musique pour chœur a capella, grand orchestre, ensemble et instrument soliste. Il est considéré comme l’un des compositeurs les plus imaginatifs de musique électroacoustique.
Lauréat du Prix International d'Art Contemporain :
Su-Mei Tse pour son œuvre Some Airing
Née en 1973 au Luxembourg (vit et travaille entre Luxembourg, Paris et Berlin), Su-Mei Tse opère dans son travail une synthèse poétique du son et de l’image qui prend forme dans des médias variés : photographie, vidéo, installation, objets. Elle qui ne cesse de déplacer et d’interroger les angles de vue, travaille une identité harmonique entre des éléments organiques, matériels et culturels à priori inassimilables.
SAR La Princesse Caroline avec Pierre Mertens et David Thomas. Photo (c) Charly Gallo / CDP
SAS le Prince Albert II et SAR la Princesse Caroline avec les lauréats, au Palais Princier de Monaco. Photo (c) Charly Gallo / CDP
Extraits podcast audio en mp3 ci-dessous
(à noter que malgré l'excellente acoustique bien connue de la Salle Garnier, ce soir la qualité sonore des microphones mis à disposition des intervenants et interviewés était très mauvaise):
(à noter que malgré l'excellente acoustique bien connue de la Salle Garnier, ce soir la qualité sonore des microphones mis à disposition des intervenants et interviewés était très mauvaise):