Marcos Baquero a passé 19 mois en captivité. Deux membres des forces armées, Salín Antonio Sanmiguel Valderrama et Henry López Martínez, un policier, Guillermo Javier Solórzano et un conseiller municipal, José Armando Acuña Molina devraient également être libérés avant le13 février.
Amnesty International a salué la libération de Marcos Baquero tout en faisant observer que de nombreuses autres personnes sont toujours aux mains des FARC et de l’Armée nationale de libération (ELN) en Colombie.
L’organisation de défense des droits humains a déclaré que les deux groupes devaient de toute urgence libérer sans condition tous les civils encore captifs. En outre, toutes les personnes pouvant raisonnablement être soupçonnées de graves atteintes aux droits humains ou de violations du droit international humanitaire doivent être jugées dans le cadre d’une procédure légale conforme aux normes internationales en matière d’équité des procès.
Amnesty International a réaffirmé que la prise d’otages était une violation grave du droit international humanitaire et pouvait constituer un crime de guerre.
Bien que le nombre des enlèvements ait chuté ces dernières années, des centaines de personnes continuent d’être emmenées contre leur volonté. Si des bandes criminelles sont responsables des enlèvements dans la majorité des cas, les groupes de la guérilla sont à l’origine de la plupart des enlèvements liés au conflit.
Amnesty International a salué la libération de Marcos Baquero tout en faisant observer que de nombreuses autres personnes sont toujours aux mains des FARC et de l’Armée nationale de libération (ELN) en Colombie.
L’organisation de défense des droits humains a déclaré que les deux groupes devaient de toute urgence libérer sans condition tous les civils encore captifs. En outre, toutes les personnes pouvant raisonnablement être soupçonnées de graves atteintes aux droits humains ou de violations du droit international humanitaire doivent être jugées dans le cadre d’une procédure légale conforme aux normes internationales en matière d’équité des procès.
Amnesty International a réaffirmé que la prise d’otages était une violation grave du droit international humanitaire et pouvait constituer un crime de guerre.
Bien que le nombre des enlèvements ait chuté ces dernières années, des centaines de personnes continuent d’être emmenées contre leur volonté. Si des bandes criminelles sont responsables des enlèvements dans la majorité des cas, les groupes de la guérilla sont à l’origine de la plupart des enlèvements liés au conflit.