Le nouvel album de Nourith est né d’une rencontre fortuite dans une rue de Paris entre une rythmique reggae voletant dans l’air et une chanson mythique bientôt quadragénaire: "Lettre à France" de Michel Polnareff. Elle se souvient avec un sourire heureux: "Ça m‘est venu en marchant. J’avais découvert cette chanson peu avant et, quand j’ai imaginé cet arrangement, ça sonnait tellement bien que ça a été un détonateur et je me suis enfin sentie prête à sortir l’album." Ce n’est pas un hasard si cette chanson l’a conduite à revenir en studio: "Je suis moi aussi entre deux pays. J’ai des choses à dire à la France. Je l’aime. J’ai émigré, j’ai choisi de vivre ici et j’aimerais que ce pays s’épanouisse tout entier comme j’ai pu m’y épanouir."
Ce 3e album de Nourith est aussi le premier dans lequel elle écrit, compose, participe aux arrangements. On attendait le retour d’une voix, d’un timbre, d’une couleur vocale si singulière et si séduisante, et l’on voit revenir une artiste complète, à l’univers fermement dessiné avec instruments traditionnels (sitar, oud, percussions lointaines…), son organique, couleurs voyageuses (un violoncelle oriental, des références celtiques…). Nourith revient. Enfin, on peut retrouver sa voix haute et claire d’habitante du rêve, la suavité qu’elle met à la langue française, la douce rocaille de son hébreu natal, le souffle sensuel de son anglais.
Nourith choisit aujourd’hui de chanter avec des accents de paix. Partir seule dans la jungle et les déserts de la production solitaire de son propre projet a donné une immense sérénité à sa voix. Son nouvel album est limpide, épuré et riche, voyageur et enraciné - un équilibre radieux. Une nouvelle Nourith, insoumise, libre et douce.
Site de l'artiste
Ce 3e album de Nourith est aussi le premier dans lequel elle écrit, compose, participe aux arrangements. On attendait le retour d’une voix, d’un timbre, d’une couleur vocale si singulière et si séduisante, et l’on voit revenir une artiste complète, à l’univers fermement dessiné avec instruments traditionnels (sitar, oud, percussions lointaines…), son organique, couleurs voyageuses (un violoncelle oriental, des références celtiques…). Nourith revient. Enfin, on peut retrouver sa voix haute et claire d’habitante du rêve, la suavité qu’elle met à la langue française, la douce rocaille de son hébreu natal, le souffle sensuel de son anglais.
Nourith choisit aujourd’hui de chanter avec des accents de paix. Partir seule dans la jungle et les déserts de la production solitaire de son propre projet a donné une immense sérénité à sa voix. Son nouvel album est limpide, épuré et riche, voyageur et enraciné - un équilibre radieux. Une nouvelle Nourith, insoumise, libre et douce.
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