La Colombie mise en avant
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Une grande photographie de notre société, voila ce que représentent les Rencontres de la photographie d'Arles. Pour cette 48ème édition le festival d’Arles se veut éclectique: au total 32 expositions seront proposées avec notamment une immersion dans la photographie venue d’Amérique du sud et plus particulièrement de Colombie.
Parmi les nombreuses expositions présentes pendant le festival "La Vuelta" sera l'une des principales à découvrir. Elle présente le travail de vingt-huit artistes de générations différentes. Appartenant aussi bien à des genres traditionnels de la photographie qu’à des pratiques expérimentales, les projets sélectionnés explorent les mutations culturelles, sociales et politiques affectant les valeurs et les croyances, avec comme perspectives centrales le conflit armé, qui a duré soixante ans, et les activités illégales liées au trafic de drogue.
La Vuelta est empruntée à une œuvre de Juan Fernando Herrán. Dans son travail, le terme vuelta tiré de l’argot colombien renvoie à une activité illégale: vol, meurtre, trafic de stupéfiants ou d’armes. Pour le cyclisme et d’autres sports, la vuelta est une course par étapes qui fait le tour d’un pays. Enfin, le terme vuelta fait référence à un retour, un come-back, au moment où la Colombie entre dans une nouvelle ère après un processus de paix laborieux. Vuelta exprime donc autant la tension de l’attente que la possibilité d’un renouveau, un mot riche de sens, et particulièrement pertinent pour tous les thèmes abordés. Le rendez-vous est donné pour l'été 2017, où bien d'autres artistes seront à découvrir en déambulant dans les rues arlésiennes.
Parmi les nombreuses expositions présentes pendant le festival "La Vuelta" sera l'une des principales à découvrir. Elle présente le travail de vingt-huit artistes de générations différentes. Appartenant aussi bien à des genres traditionnels de la photographie qu’à des pratiques expérimentales, les projets sélectionnés explorent les mutations culturelles, sociales et politiques affectant les valeurs et les croyances, avec comme perspectives centrales le conflit armé, qui a duré soixante ans, et les activités illégales liées au trafic de drogue.
La Vuelta est empruntée à une œuvre de Juan Fernando Herrán. Dans son travail, le terme vuelta tiré de l’argot colombien renvoie à une activité illégale: vol, meurtre, trafic de stupéfiants ou d’armes. Pour le cyclisme et d’autres sports, la vuelta est une course par étapes qui fait le tour d’un pays. Enfin, le terme vuelta fait référence à un retour, un come-back, au moment où la Colombie entre dans une nouvelle ère après un processus de paix laborieux. Vuelta exprime donc autant la tension de l’attente que la possibilité d’un renouveau, un mot riche de sens, et particulièrement pertinent pour tous les thèmes abordés. Le rendez-vous est donné pour l'été 2017, où bien d'autres artistes seront à découvrir en déambulant dans les rues arlésiennes.