Jackson Richardson et Islem Salmi (c) Jean-Louis Courleux
Podcast Jackson Richardson.mp3 (320.83 Ko)
Islem Salmi: Après la victoire de Montpellier contre Kiel, pensez-vous qu'un club français peut être champion d'Europe?
Jackson Richardson: "Montpellier veut atteindre son objectif notamment avec la victoire contre Kiel, mais je crains que Montpellier manque encore de joueurs pour faire la différence, contrairement à des équipes comme Kiel ou comme Hambourg qui ont gardé de très bons joueurs".
I.S: Cela fait 2 ans que Nikola Karabatic joue avec la France, il y a des prolongations de contrat et on a ouïe dire que Thierry Omeyer reviendrait à Montpellier... Pensez-vous que, contrairement au football français, le handball français attire les joueurs?
J.R: "Avoir des joueurs comme Karabatic, Narcisse et Omeyer dans l'équipe de France, c'est alléchant. Mais la longévité de l'équipe ce n'est pas de faire revenir des joueurs mais de pouvoir garder les "jeunes joueurs". Je pense notamment à l'exemple danois".
I.S: Comment gère-t-on une fin de carrière aussi riche que la votre, et surtout la reconversion qui suit?
J.R: "J'ai eu la chance d'aller au bout de mes objectifs. C'est important l'objectif pour un sportif. Aujourd'hui, en ce qui concerne ma reconversion, j'ai un fond de commerce immobilier à La Réunion".
Jackson Richardson: "Montpellier veut atteindre son objectif notamment avec la victoire contre Kiel, mais je crains que Montpellier manque encore de joueurs pour faire la différence, contrairement à des équipes comme Kiel ou comme Hambourg qui ont gardé de très bons joueurs".
I.S: Cela fait 2 ans que Nikola Karabatic joue avec la France, il y a des prolongations de contrat et on a ouïe dire que Thierry Omeyer reviendrait à Montpellier... Pensez-vous que, contrairement au football français, le handball français attire les joueurs?
J.R: "Avoir des joueurs comme Karabatic, Narcisse et Omeyer dans l'équipe de France, c'est alléchant. Mais la longévité de l'équipe ce n'est pas de faire revenir des joueurs mais de pouvoir garder les "jeunes joueurs". Je pense notamment à l'exemple danois".
I.S: Comment gère-t-on une fin de carrière aussi riche que la votre, et surtout la reconversion qui suit?
J.R: "J'ai eu la chance d'aller au bout de mes objectifs. C'est important l'objectif pour un sportif. Aujourd'hui, en ce qui concerne ma reconversion, j'ai un fond de commerce immobilier à La Réunion".