Belinda. Adaptateur: Eddy Marnay. Musique: Ley Parton David Eric Stan. Interprète: Claude François. (1972)
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Le titre "Belinda" est l'exemple type de ce chanteur-musicien français, show-man hors paire qui aurait 75 ans aujourd'hui. Depuis son décès accidentel le 11 mars 1978, on a beaucoup retracé sa carrière d'homme public. En ce jour anniversaire, c'est plus de l'homme "vie privée" que le Podcast Journal a envie de vous parler.
Ce personnage à double facette a été raconté avec justesse dans le livre "Claude François, nos enfants et moi" par Isabelle Forêt - sa compagne pendant sept ans -, sorti aux éditions Fayard en 1979. La préface est de Michel Drucker dont cet extrait: "Il avait ce que quelques rares stars légendaires (James Dean, R. Valentino) avaient eu avant lui: le pouvoir de fascination. Que le répertoire de Claude François ait été léger comme un flocon de neige, que sa voix n'ait été celle de Frank Sinatra, que sa manière parfois autoritaire d'exercer son métier ait été discutée (seuls les professionnels sont souvent tyrannique). Quelle importance! Sa silhouette d'apparence fluette, mais d'une force insoupçonnable, attirait comme un aimant ceux qui passaient dans son faisceau".
Isabelle Forêt, la mère de ses deux enfants Claude Junior et Marc, témoigne comment elle a refusé deux fois la demande en mariage de Claude François, se souvient également du dernier merveilleux Noël passé au Moulin, cette demeure qu'il affectionnait tant, et de ce mot reçu fin février 1978 - quelques jours avant sa mort - qui lui faisait part de ses projets de vacances d'été: "Nous partirons tous en Égypte, ma mère, ma sœur, Éric son mari, toi, les enfants et Kataleen (sa dernière compagne). Je vous ferai connaître mon Égypte. Là où je suis né".
Isabelle Forêt savait que la vie normale aux côtés du chanteur était entre enfer et paradis. Elle avait compris très vite qu'il était difficile d'être à la fois homme public, star et père de famille. Elle écrit: "Il fut en effet à mes yeux un père torturé, un compagnon et un amant insaisissable". Claude François disait souvent: "Je suis un fou qui mélange ses rêves"... Et il a fait beaucoup rêver!
Il faut que je vous chante pour oublier
Une étoile filante qui m'a quitté
Vous pouvez m'aidez à la trouver
Elle a les yeux bleus Belinda
Elle a le front blond Belinda
Ça fait dix fois qu'elle s'en va et qu'elle revient
C'est elle qui fait mon cœur et qui défait mon cœur de ses mains
Si vous la voyer
Vous la reconnaitrez
Elle a les yeux bleus Belinda
Elle a le front blond Belinda
Je devrais en avoir l'habitude
Et l'attendre comme je l'ai fait souvent
Mais j'entends crier ma solitude
Je l'appelle et ma voix tombe dans le vent
Elle est dans mon sommeil comme une fleur
Un soleil sans soleil et sans chaleur
Vous pouvez m'aider à la trouver
Elle a les yeux bleus Belinda
Elle a le front blond Belinda
Elle a les yeux bleus Belinda
Elle a le front blond Belinda
Elle a les yeux bleus Belinda
Elle a le front blond Belinda
Elle a les yeux bleus Belinda
Elle a le front blond Belinda
Les paroles des chansons sont la propriété de leurs auteurs. Leur commercialisation est interdite.
La chanson à la Une peut-être aussi votre chanson préférée: faites-nous part de votre souvenir musical en postant des commentaires, et votre titre pourrait aussi être à la Une!
Ce personnage à double facette a été raconté avec justesse dans le livre "Claude François, nos enfants et moi" par Isabelle Forêt - sa compagne pendant sept ans -, sorti aux éditions Fayard en 1979. La préface est de Michel Drucker dont cet extrait: "Il avait ce que quelques rares stars légendaires (James Dean, R. Valentino) avaient eu avant lui: le pouvoir de fascination. Que le répertoire de Claude François ait été léger comme un flocon de neige, que sa voix n'ait été celle de Frank Sinatra, que sa manière parfois autoritaire d'exercer son métier ait été discutée (seuls les professionnels sont souvent tyrannique). Quelle importance! Sa silhouette d'apparence fluette, mais d'une force insoupçonnable, attirait comme un aimant ceux qui passaient dans son faisceau".
Isabelle Forêt, la mère de ses deux enfants Claude Junior et Marc, témoigne comment elle a refusé deux fois la demande en mariage de Claude François, se souvient également du dernier merveilleux Noël passé au Moulin, cette demeure qu'il affectionnait tant, et de ce mot reçu fin février 1978 - quelques jours avant sa mort - qui lui faisait part de ses projets de vacances d'été: "Nous partirons tous en Égypte, ma mère, ma sœur, Éric son mari, toi, les enfants et Kataleen (sa dernière compagne). Je vous ferai connaître mon Égypte. Là où je suis né".
Isabelle Forêt savait que la vie normale aux côtés du chanteur était entre enfer et paradis. Elle avait compris très vite qu'il était difficile d'être à la fois homme public, star et père de famille. Elle écrit: "Il fut en effet à mes yeux un père torturé, un compagnon et un amant insaisissable". Claude François disait souvent: "Je suis un fou qui mélange ses rêves"... Et il a fait beaucoup rêver!
Il faut que je vous chante pour oublier
Une étoile filante qui m'a quitté
Vous pouvez m'aidez à la trouver
Elle a les yeux bleus Belinda
Elle a le front blond Belinda
Ça fait dix fois qu'elle s'en va et qu'elle revient
C'est elle qui fait mon cœur et qui défait mon cœur de ses mains
Si vous la voyer
Vous la reconnaitrez
Elle a les yeux bleus Belinda
Elle a le front blond Belinda
Je devrais en avoir l'habitude
Et l'attendre comme je l'ai fait souvent
Mais j'entends crier ma solitude
Je l'appelle et ma voix tombe dans le vent
Elle est dans mon sommeil comme une fleur
Un soleil sans soleil et sans chaleur
Vous pouvez m'aider à la trouver
Elle a les yeux bleus Belinda
Elle a le front blond Belinda
Elle a les yeux bleus Belinda
Elle a le front blond Belinda
Elle a les yeux bleus Belinda
Elle a le front blond Belinda
Elle a les yeux bleus Belinda
Elle a le front blond Belinda
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Chanson à la une - Sous l'armure, par Leopoldine 
