Le comité de soutien à Catherine Pederzoli demande à être reçu en urgence par Nicolas Sarkozy.
Le comité de soutien à Catherine Pederzoli, cette enseignante originaire de Nancy suspendue à la suite d’un rapport de l’Inspection générale de l’Education nationale mettant en cause son enseignement de la Shoah, demande, dans un courrier transmis vendredi 1er octobre, à être reçu en urgence par le Président de la République, Nicolas Sarkozy.
Pour Guy Konopnicki, le porte-parole du comité de soutien, "on essaie aujourd’hui de sanctionner une professeure d’histoire-géographie en changeant l’accusation en cours de procédure".
Pour le porte-parole du comité, "au mépris de l’état de droit, l’instruction administrative du dossier est exclusivement à charge. Tout se passe comme si on cherchait, pour enterrer un rapport scandaleux mettant en cause l’utilisation du mot Shoah, une accusation extérieure au dossier justifiant la sanction".
"Catherine Pederzoli a mené un travail pédagogique auquel de nombreux enseignants renoncent souvent par peur de représailles. Nous avons recueillis des témoignages dans d'autres académies allant dans ce sens", précise Guy Konopnicki.
Le comité de soutien souhaite alerter le Président de la République sur les difficultés que rencontrent les professeurs de l’enseignement secondaire pour aborder le sujet de la Shoah comme d’ailleurs celui du Génocide des Arméniens.
Le comité de soutien à Catherine Pederzoli, fort de plus de 3 000 membres, réitère sa demande de réintégration immédiate et sans condition de l’enseignante.
Contacts :
Comité de soutien à Catherine Pederzoli
100 avenue du Général Leclerc
54000 NANCY
www.soutenonscatherine.fr
Guy Konopnicki (porte-parole) : 06 08 70 64 73
Marc Perez (coordination) : 06 99 09 74 89
http://www.collectifvan.org/article.php?r=0&id=48404
Le comité de soutien à Catherine Pederzoli, cette enseignante originaire de Nancy suspendue à la suite d’un rapport de l’Inspection générale de l’Education nationale mettant en cause son enseignement de la Shoah, demande, dans un courrier transmis vendredi 1er octobre, à être reçu en urgence par le Président de la République, Nicolas Sarkozy.
Pour Guy Konopnicki, le porte-parole du comité de soutien, "on essaie aujourd’hui de sanctionner une professeure d’histoire-géographie en changeant l’accusation en cours de procédure".
Pour le porte-parole du comité, "au mépris de l’état de droit, l’instruction administrative du dossier est exclusivement à charge. Tout se passe comme si on cherchait, pour enterrer un rapport scandaleux mettant en cause l’utilisation du mot Shoah, une accusation extérieure au dossier justifiant la sanction".
"Catherine Pederzoli a mené un travail pédagogique auquel de nombreux enseignants renoncent souvent par peur de représailles. Nous avons recueillis des témoignages dans d'autres académies allant dans ce sens", précise Guy Konopnicki.
Le comité de soutien souhaite alerter le Président de la République sur les difficultés que rencontrent les professeurs de l’enseignement secondaire pour aborder le sujet de la Shoah comme d’ailleurs celui du Génocide des Arméniens.
Le comité de soutien à Catherine Pederzoli, fort de plus de 3 000 membres, réitère sa demande de réintégration immédiate et sans condition de l’enseignante.
Contacts :
Comité de soutien à Catherine Pederzoli
100 avenue du Général Leclerc
54000 NANCY
www.soutenonscatherine.fr
Guy Konopnicki (porte-parole) : 06 08 70 64 73
Marc Perez (coordination) : 06 99 09 74 89
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