Photo (c) Adrian Boliston
Déjà en 2008, Carla Del Ponte, l’ancienne procureur du Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie (TPIY) publiait une ivre intitulé "La chasse, les criminels de guerre et moi", où elle dénonçait un trafic d’organe orchestré par de hauts dirigeants kosovars. Selon elle, "environ 300 prisonniers auraient été transportés pendant l’été 1999 depuis le Kosovo jusqu’en Albanie où ils auraient été enfermés dans une sorte de prison, appelé maison jaune. Les organes prélevés auraient été envoyés vers des cliniques à l’étranger pour être implantés sur des patients qui payaient, pendant que les victimes restaient enfermées jusqu’au moment où elles étaient tuées pour d’autres organes".
Par la suite, le rapporteur du Conseil de l’Europe Dick Marty, dans son rapport de décembre 2010, dénonce ce trafic d’organes et pire, accuse certains dirigeants européens d’avoir été au courant. De plus, le rapport Marty a nommé l’ancien Premier ministre kosovar, Hashim Thaci, l'ancien chef de l'Armée de libération du Kosovo, nouvellement réélu, d’avoir su et de n’avoir rien fait pour stopper ces délits. Malheureusement, les témoins de ces crimes sont d’après eux en danger de mort, et ils leurs faudrait rentrer dans un programme de protection des témoins, pour pouvoir parler librement.
Pour faire avancer ce dossier, l’Europe à accepter de diligenter unité spéciale d’enquête. En effet le 25 janvier, l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe a adopté une résolution appelant à l'établissement d'une enquête sur ces allégations.
Par la suite, le rapporteur du Conseil de l’Europe Dick Marty, dans son rapport de décembre 2010, dénonce ce trafic d’organes et pire, accuse certains dirigeants européens d’avoir été au courant. De plus, le rapport Marty a nommé l’ancien Premier ministre kosovar, Hashim Thaci, l'ancien chef de l'Armée de libération du Kosovo, nouvellement réélu, d’avoir su et de n’avoir rien fait pour stopper ces délits. Malheureusement, les témoins de ces crimes sont d’après eux en danger de mort, et ils leurs faudrait rentrer dans un programme de protection des témoins, pour pouvoir parler librement.
Pour faire avancer ce dossier, l’Europe à accepter de diligenter unité spéciale d’enquête. En effet le 25 janvier, l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe a adopté une résolution appelant à l'établissement d'une enquête sur ces allégations.