Arrivé vers 17h, le chef de l’Etat a été accueilli sous la musique de la fanfare militaire et sous les applaudissements de milliers de personnes. Il s’agit de délégations, venues des 14 régions que compte le pays. Mais aussi, de milliers d’élèves invités à prendre part à ce rendez-vous historique.
Dans son adresse, le chef de l’Etat a rappelé l’esprit qui s’attache à cet évènement.
"Les festivités qui nous réunissent ici marquent le cinquantenaire de l’accession du Sénégal à la souveraineté internationale. Le peuple sénégalais dans toutes ses composantes, fier de son passé, uni autour de l’idéal de la nation et animé d’une foi ardente en son avenir, a décidé de fêter cet évènement exceptionnel tout au long de l’année 2010 par une série de manifestations sur toute l’étendue du territoire national" a-t-il notamment déclaré.
Cette étape historique pour la nation, est selon le président de la République "l’unique occasion de jeter un regard rétrospectif sur le parcours de notre pays". Et ce, "à travers un hommage solennel dédié à celles et à ceux qui ont œuvré inlassablement pour l’affirmation et le développement de la nation".
Dans son adresse, le chef de l’Etat a rappelé l’esprit qui s’attache à cet évènement.
"Les festivités qui nous réunissent ici marquent le cinquantenaire de l’accession du Sénégal à la souveraineté internationale. Le peuple sénégalais dans toutes ses composantes, fier de son passé, uni autour de l’idéal de la nation et animé d’une foi ardente en son avenir, a décidé de fêter cet évènement exceptionnel tout au long de l’année 2010 par une série de manifestations sur toute l’étendue du territoire national" a-t-il notamment déclaré.
Cette étape historique pour la nation, est selon le président de la République "l’unique occasion de jeter un regard rétrospectif sur le parcours de notre pays". Et ce, "à travers un hommage solennel dédié à celles et à ceux qui ont œuvré inlassablement pour l’affirmation et le développement de la nation".
Le Président Wade accompagné du Premier ministre et de son épouse
Par, ailleurs, le chef de l’Etat qui, à cette occasion, a souligné la nécessité de prendre "dès à présent rendez-vous avec l’avenir" a invité la jeunesse à méditer la portée nationale et civique de cet évènement afin d’y puiser un viatique. Celui-là même capable de la hisser à la hauteur des défis qui interpellent la nation.
Aussi, à l’armée nationale il a exprimé la reconnaissance de la nation. Il a ainsi souligné que cette célébration offre l’occasion de magnifier les forces sénégalaises de défense et de sécurité pour leur contribution au développement économique mais aussi au maintien de la paix dans le monde.
Aussi, à l’armée nationale il a exprimé la reconnaissance de la nation. Il a ainsi souligné que cette célébration offre l’occasion de magnifier les forces sénégalaises de défense et de sécurité pour leur contribution au développement économique mais aussi au maintien de la paix dans le monde.
"Je souhaite que 2010 soit un jalon lumineux dans la marche de notre pays"
Saisissant cette occasion de grande ferveur patriotique, le Président de la République a formulé un vœu d’unité et de paix pour le Sénégal.
"Je souhaite que 2010, année du cinquantenaire, soit synonyme de concorde nationale, de fervente communion autour d’idéaux d’harmonie nationale et de fraternité humaine" a t-il encore formulé. Et d’ajouter : "Qu’elle soit un jalon lumineux dans la marche de notre paix vers des victoires toujours plus belles et plus éclatantes".
"Je souhaite que 2010, année du cinquantenaire, soit synonyme de concorde nationale, de fervente communion autour d’idéaux d’harmonie nationale et de fraternité humaine" a t-il encore formulé. Et d’ajouter : "Qu’elle soit un jalon lumineux dans la marche de notre paix vers des victoires toujours plus belles et plus éclatantes".
Cérémonies riches en couleurs : les facettes culturelles dévoilées
Les majorettes esquissant des pas de danse
Les quatorze régions ont toutes présenté leurs facettes propres à travers un défilé. De la communauté lébou de Dakar, en passant par les signares de Saint-Louis, les rites mythiques et initiatiques de Ziguinchor, tous les aspects du patrimoine ont été dévoilés.
Ainsi, le tableau culturel sénégalais a été repeint à grands pinceaux grâce à la prestation des majorettes du lycée John Fitzgerald Kennedy et de l’institution Notre Dame de Dakar.
Les stylistes y ont pris part à travers un défilé de mode ainsi que l’escadron monté de la gendarmerie nationale.
Ainsi, le tableau culturel sénégalais a été repeint à grands pinceaux grâce à la prestation des majorettes du lycée John Fitzgerald Kennedy et de l’institution Notre Dame de Dakar.
Les stylistes y ont pris part à travers un défilé de mode ainsi que l’escadron monté de la gendarmerie nationale.
La devise
En outre, des projections de films ont été faites en guise d’hommage aux hommes politiques qui ont fortement marqué l’histoire du Sénégal. Il s’agit de Blaise Diagne, premier député noir du Sénégal ; Lamine Guèye, premier Président de l’assemblée nationale ; Mamadou Dia, ancien Président du conseil mais aussi des présidents Léopold Sédar Senghor, Abdou Diouf et Abdoulaye Wade.
Etalées sur toute l’année 2010, ces festivités se poursuivront les 3 et 4 avril avec respectivement la traditionnelle retraite au flambeau et le défilé militaire suivi de l’inauguration du monument de la renaissance africaine.
A l’instar de ces quatorze pays frères ayant accédé à la souveraineté internationale en 1960, le Sénégal se mobilise pour donner à l’évènement toute l’importance qu’il requiert. Toutefois, saura t-on dépasser l’ivresse festive et prendre le bon tournant pour ne pas rater le train de l’histoire des cinquante années à venir ?
Etalées sur toute l’année 2010, ces festivités se poursuivront les 3 et 4 avril avec respectivement la traditionnelle retraite au flambeau et le défilé militaire suivi de l’inauguration du monument de la renaissance africaine.
A l’instar de ces quatorze pays frères ayant accédé à la souveraineté internationale en 1960, le Sénégal se mobilise pour donner à l’évènement toute l’importance qu’il requiert. Toutefois, saura t-on dépasser l’ivresse festive et prendre le bon tournant pour ne pas rater le train de l’histoire des cinquante années à venir ?