Un programme visant à réhabiliter un millier de maisons détruites ou endommagées a été mis en place. Les travaux sont effectués par des ouvriers locaux, contre rémunération et avec le soutien de volontaires de la Croix-Rouge de la République démocratique du Congo. Ce programme bénéficiera aux familles qui s’installeront dans ces maisons, mais aussi au marché local grâce aux salaires versés aux ouvriers.
« Nous essayons de soutenir les populations en vue de relancer leurs activités économiques, explique Abdallah Togala, délégué du CICR. La logistique est un grand défi. Nous avons dû affréter une barge pour amener plus de 150 tonnes de marchandises depuis la capitale Kinshasa via le fleuve Congo. C'est un voyage d'environ mille kilomètres, qui a duré deux semaines. »
La ville de Dongo, dans le district du Sud-Oubangi, a été particulièrement touchée par les violences armées qui sévissent dans la région depuis octobre 2009 . Des dizaines de milliers de personnes ont été déplacées, dont la majorité ont trouvé refuge dans les pays voisins. Les populations ont perdu une grande partie des récoltes, des outils de production et du bétail. Les rares infrastructures qui existaient, telles que les écoles, les centres de santé et le marché, ont été partiellement détruites lors d’actes de pillage.
Au mois de mars, plus de 27 000 personnes dans la même région avaient déjà bénéficié d'une première distribution de semences et outils pour la production agricole.
Le CICR s'efforce aussi de rétablir le contact entre les membres de familles séparés par les violences. Deux enfants ont déjà été réunis avec leurs parents, et sept autres vivant actuellement en République du Congo sont en attente de pouvoir rejoindre leur famille en RDC. Par ailleurs, 134 autres enfants séparés de leurs parents sont également suivis par le CICR dans la province de l'Équateur.
Présent en RDC depuis 1978, le CICR a ouvert un nouveau bureau à Dongo en juin 2010. En collaboration avec la Croix-Rouge de la République démocratique du Congo, il s’emploie à porter protection et assistance aux victimes des conflits armés et autres situations de violence.
« Nous essayons de soutenir les populations en vue de relancer leurs activités économiques, explique Abdallah Togala, délégué du CICR. La logistique est un grand défi. Nous avons dû affréter une barge pour amener plus de 150 tonnes de marchandises depuis la capitale Kinshasa via le fleuve Congo. C'est un voyage d'environ mille kilomètres, qui a duré deux semaines. »
La ville de Dongo, dans le district du Sud-Oubangi, a été particulièrement touchée par les violences armées qui sévissent dans la région depuis octobre 2009 . Des dizaines de milliers de personnes ont été déplacées, dont la majorité ont trouvé refuge dans les pays voisins. Les populations ont perdu une grande partie des récoltes, des outils de production et du bétail. Les rares infrastructures qui existaient, telles que les écoles, les centres de santé et le marché, ont été partiellement détruites lors d’actes de pillage.
Au mois de mars, plus de 27 000 personnes dans la même région avaient déjà bénéficié d'une première distribution de semences et outils pour la production agricole.
Le CICR s'efforce aussi de rétablir le contact entre les membres de familles séparés par les violences. Deux enfants ont déjà été réunis avec leurs parents, et sept autres vivant actuellement en République du Congo sont en attente de pouvoir rejoindre leur famille en RDC. Par ailleurs, 134 autres enfants séparés de leurs parents sont également suivis par le CICR dans la province de l'Équateur.
Présent en RDC depuis 1978, le CICR a ouvert un nouveau bureau à Dongo en juin 2010. En collaboration avec la Croix-Rouge de la République démocratique du Congo, il s’emploie à porter protection et assistance aux victimes des conflits armés et autres situations de violence.
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