C'est sur Europe 1 que Gérard Larcher s'est exprimé "C'est un débat qui mérite d'être poursuivi, sans doute sous une autre forme, et c'est peut-être le rôle du Parlement de se saisir aujourd'hui de ce débat". Il a également précisé "il ne serait pas inutile que ce débat fasse l'objet d'un rapport parlementaire. Il y a un vrai débat à avoir, c'est une proposition que je fais sur "l'ouverture d'une mission parlementaire",. De plus, a t-il ajouté "cela mérite qu'on en parle avec raison et dans l'intérêt des malades, parce que celui qui se drogue à répétition, chacun reconnaît que c'est un malade".
François Fillon s'est opposer à l'expérimentation de salles de consommation proposées par la Ministre de la Sante et la secrétaire d'Etat à la famille.
Le professeur Julio Montaner1, alors président de l'International Aids Society2, écrivait le 21 mars 2010 à la ministre de la santé Roselyne Bachelot-Narquin pour lui assurer son "entier soutien à une évaluation des centres d'injection supervisée". Il résume dans ce courrier la réduction des comportements à risque de transmission du VIH et du VHC et du nombre de décès par overdose.
Saisi par la ministre de la Santé, l'INSERM3 rendait le 20 juin 2010 les synthèse et recommandations de son expertise.Ils notent que du fait d'un manque d'études et des difficultés méthodologiques, "on ne peut tirer de conclusions sur une influence spécifique des CIS sur l'incidence du VIH ou du VHC".
Seulement "les études démontrent une diminution des abcès et autres maladies liées à l'injection, ainsi que des comportements à risque de transmission du VIH/VHC (partage de matériel usagé ou de matériel servant à la préparation de l'injection)
Etienne Apaire affirme que : "L'impact des salles d'injection sur la réduction des infections (VIH, hépatites) n'y est pas démontré". Il ajoute : "Le fait qu'elles pourraient faciliter l'accès aux soins des toxicomanes, voire leur sortie de la dépendance, n'en est qu'au stade de l'hypothèse".
Une nouvelle fois, Étienne Apaire se joue des conclusions du rapport. De plus, le président de l'IAS a clairement démontré l'augmentation (34 % de plus l'année suivant l'installation d'un CIS à Vancouver) du nombre d'usagers se faisant traiter pour leur dépendance.
Enfin, le rapport montre encore l'intérêt des CIS en matière d'économie pour le système de santé, d'amélioration de l'accès aux soins des usagers, de réduction de la consommation dans des lieux publics et des nuisances associées - ceci sans que l'on constate une augmentation de la consommation de substances illicites ou de crimes et délits associés à la drogue. Autant de résultats qui plaident pour une expérimentation de ces salles en France, alors qu'Étienne Apaire n'en parle pas du tout dans ses interventions publiques.
François Fillon s'est opposer à l'expérimentation de salles de consommation proposées par la Ministre de la Sante et la secrétaire d'Etat à la famille.
Le professeur Julio Montaner1, alors président de l'International Aids Society2, écrivait le 21 mars 2010 à la ministre de la santé Roselyne Bachelot-Narquin pour lui assurer son "entier soutien à une évaluation des centres d'injection supervisée". Il résume dans ce courrier la réduction des comportements à risque de transmission du VIH et du VHC et du nombre de décès par overdose.
Saisi par la ministre de la Santé, l'INSERM3 rendait le 20 juin 2010 les synthèse et recommandations de son expertise.Ils notent que du fait d'un manque d'études et des difficultés méthodologiques, "on ne peut tirer de conclusions sur une influence spécifique des CIS sur l'incidence du VIH ou du VHC".
Seulement "les études démontrent une diminution des abcès et autres maladies liées à l'injection, ainsi que des comportements à risque de transmission du VIH/VHC (partage de matériel usagé ou de matériel servant à la préparation de l'injection)
Etienne Apaire affirme que : "L'impact des salles d'injection sur la réduction des infections (VIH, hépatites) n'y est pas démontré". Il ajoute : "Le fait qu'elles pourraient faciliter l'accès aux soins des toxicomanes, voire leur sortie de la dépendance, n'en est qu'au stade de l'hypothèse".
Une nouvelle fois, Étienne Apaire se joue des conclusions du rapport. De plus, le président de l'IAS a clairement démontré l'augmentation (34 % de plus l'année suivant l'installation d'un CIS à Vancouver) du nombre d'usagers se faisant traiter pour leur dépendance.
Enfin, le rapport montre encore l'intérêt des CIS en matière d'économie pour le système de santé, d'amélioration de l'accès aux soins des usagers, de réduction de la consommation dans des lieux publics et des nuisances associées - ceci sans que l'on constate une augmentation de la consommation de substances illicites ou de crimes et délits associés à la drogue. Autant de résultats qui plaident pour une expérimentation de ces salles en France, alors qu'Étienne Apaire n'en parle pas du tout dans ses interventions publiques.