Il a tout pour devenir plus que centenaire
Le 25 avril 1973, c'était le Premier ministre Pierre Messmer qui inaugurait le périphérique parisien, dont le chantier colossal a duré 17 ans. Réalisé sur un tracé d'un peu plus de 35 kilomètres avec 38 portes, 23 tunnels,148 ponts.
Le 25 avril 2013 à l’occasion de ce 40e anniversaire, le maire de Paris Bertrand Delanoë, le maire de Vanves Bernard Gauducheau et le maire de Malakoff Catherine Margaté, ont inauguré le jardin Anna-Marly, aménagé sur une dalle recouvrant l’autoroute urbaine au niveau de la porte de Vanves.
L’aménagement de ce jardin de 7.500m2, était du grand programme de renouvellement urbain engagé à Paris en 2001, dont une des ambitions était de rétablir la continuité urbaine entre Paris et les communes avoisinantes, son coût est estimé à six millions d’euros.
Pierre Mansat en charge des relations avec les collectivités d’Ile-de-France lors d'une interview a précisé "Le temps de ces couvertures n’est plus pour des raisons techniques et financières. L’idée est plutôt de réfléchir à réduire les nuisances phoniques, changer les revêtements de chaussée, réduire la vitesse de circulation. On s’oriente vers une reconquête douce".
L'architecte Alain Trévelo décrit sa vision de l'avenir du périphérique parisien ainsi: "On a besoin de transports concentriques, on peut imaginer continuer à circuler pendant longtemps sur cette voie. Dans 20 ou 30 ans, les mobilités auront changé: les véhicules seront moins polluants, il y aura davantage de transports en commun. Le jour où il y aura cela, il sera nécessaire que le périphérique soit une voie de circulation ouverte",
Le 25 avril 2013 à l’occasion de ce 40e anniversaire, le maire de Paris Bertrand Delanoë, le maire de Vanves Bernard Gauducheau et le maire de Malakoff Catherine Margaté, ont inauguré le jardin Anna-Marly, aménagé sur une dalle recouvrant l’autoroute urbaine au niveau de la porte de Vanves.
L’aménagement de ce jardin de 7.500m2, était du grand programme de renouvellement urbain engagé à Paris en 2001, dont une des ambitions était de rétablir la continuité urbaine entre Paris et les communes avoisinantes, son coût est estimé à six millions d’euros.
Pierre Mansat en charge des relations avec les collectivités d’Ile-de-France lors d'une interview a précisé "Le temps de ces couvertures n’est plus pour des raisons techniques et financières. L’idée est plutôt de réfléchir à réduire les nuisances phoniques, changer les revêtements de chaussée, réduire la vitesse de circulation. On s’oriente vers une reconquête douce".
L'architecte Alain Trévelo décrit sa vision de l'avenir du périphérique parisien ainsi: "On a besoin de transports concentriques, on peut imaginer continuer à circuler pendant longtemps sur cette voie. Dans 20 ou 30 ans, les mobilités auront changé: les véhicules seront moins polluants, il y aura davantage de transports en commun. Le jour où il y aura cela, il sera nécessaire que le périphérique soit une voie de circulation ouverte",