Partie en 5e position des LMP2, l’Alpine restait au contact des leaders de la course en occupant la 6e place de la catégorie. Nelson Panciatici prenait ensuite le volant et commençait une belle remontée vers le podium. La stratégie était alors adaptée aux divers événements, notamment une longue neutralisation qui était à l’origine d’un quintuple relais de Nelson Panciatici. Parti pour un unique ravitaillement avec les mêmes pneumatiques, il bénéficiait de l’entrée en piste de la voiture de sécurité pour faire le plein, chausser de nouveaux pneumatiques hard et repartir pour trois autres relais.
Cette stratégie et le rythme imposé par Nelson Panciatici amenaient l’Alpine A450b en 3e position. Ses coéquipiers, Vincent Capillaire et ensuite Paul Loup Chatin lui succédaient au volant chaussés de pneumatiques plus tendres afin de continuer à remonter sur la tête de course. Mais au deux tiers du relais l’Alpine A450b sortait de la piste à Mulsanne. Conseillé par ses ingénieurs, Paul Loup Chatin tentait en vain de remettre en marche sa voiture durant plus de deux heures. L’équipe Signatech-Alpine décidait alors d’annoncer l’abandon vers deux heures du matin.
Nelson Panciatici se veut malgré tout positif et continue à penser qu’il avait eu raison de croire en ses chances: "Nous avions pris un bon départ et la stratégie choisie nous aurait donné un avantage déterminant pour la suite. Lancer ma course avec un quintuple relais d’emblée était une nouvelle expérience. J’ai pris un immense plaisir au volant de l’Alpine A450 b. La voiture était extraordinaire. Nous étions très performants. Tout se déroulait comme prévue mais le Mans reste une épreuve difficile avec de nombreux pièges. Une sortie arrive parfois en sport automobile, il faut savoir l’accepter car cela fait partie du jeu. C’est dommage, car je suis convaincu que nous aurions pu faire quelque chose de bien.
Si je devais avoir un regret à exprimer ce serait mon manque de réussite en qualifications où je n’ai fait qu’un seul tour avant de rencontrer une slow zone, vu le temps, je pense que cela devait faire quelque chose de bien. L’Endurance m’a appris à partager les bons et les mauvais moments, l’année dernière on était sur le podium, aujourd’hui c’est un jour "sans", on se rattrapera l’année prochaine!"
Cette journée a été intense avec des moments d’émotions, de satisfactions ou de déception, mais en toutes circonstances l’équipe Signatech-Alpine a su faire preuve d’un formidable esprit d’équipe à l’image de Nelson Panciatici qui déclarait pour conclure: "on gagne ensemble, on perd ensemble!"
Prochain rendez-vous sur le circuit du Nurburgring en Allemagne pour la quatrième manche du Championnat du Monde (FIA WEC) les 29 et 30 août.
Cette stratégie et le rythme imposé par Nelson Panciatici amenaient l’Alpine A450b en 3e position. Ses coéquipiers, Vincent Capillaire et ensuite Paul Loup Chatin lui succédaient au volant chaussés de pneumatiques plus tendres afin de continuer à remonter sur la tête de course. Mais au deux tiers du relais l’Alpine A450b sortait de la piste à Mulsanne. Conseillé par ses ingénieurs, Paul Loup Chatin tentait en vain de remettre en marche sa voiture durant plus de deux heures. L’équipe Signatech-Alpine décidait alors d’annoncer l’abandon vers deux heures du matin.
Nelson Panciatici se veut malgré tout positif et continue à penser qu’il avait eu raison de croire en ses chances: "Nous avions pris un bon départ et la stratégie choisie nous aurait donné un avantage déterminant pour la suite. Lancer ma course avec un quintuple relais d’emblée était une nouvelle expérience. J’ai pris un immense plaisir au volant de l’Alpine A450 b. La voiture était extraordinaire. Nous étions très performants. Tout se déroulait comme prévue mais le Mans reste une épreuve difficile avec de nombreux pièges. Une sortie arrive parfois en sport automobile, il faut savoir l’accepter car cela fait partie du jeu. C’est dommage, car je suis convaincu que nous aurions pu faire quelque chose de bien.
Si je devais avoir un regret à exprimer ce serait mon manque de réussite en qualifications où je n’ai fait qu’un seul tour avant de rencontrer une slow zone, vu le temps, je pense que cela devait faire quelque chose de bien. L’Endurance m’a appris à partager les bons et les mauvais moments, l’année dernière on était sur le podium, aujourd’hui c’est un jour "sans", on se rattrapera l’année prochaine!"
Cette journée a été intense avec des moments d’émotions, de satisfactions ou de déception, mais en toutes circonstances l’équipe Signatech-Alpine a su faire preuve d’un formidable esprit d’équipe à l’image de Nelson Panciatici qui déclarait pour conclure: "on gagne ensemble, on perd ensemble!"
Prochain rendez-vous sur le circuit du Nurburgring en Allemagne pour la quatrième manche du Championnat du Monde (FIA WEC) les 29 et 30 août.