Dans la soirée du jeudi 7 mars 2013, la télévision officielle du Zimbabwe a diffusé deux annonces insinuant que Jestina Mukoko, directrice du Projet de paix pour le Zimbabwe (ZPP), avait pris la fuite et exhortant toute personne susceptible de savoir où elle se trouvait à contacter la police.
Jestina Mukoko, qui se trouvait chez elle au moment de la diffusion de ces annonces, s'est rendue de son plein gré, le 8 mars au matin, au poste de police central de Harare. Elle a été inculpée de plusieurs chefs, avant d'être relâchée sous la garde de ses avocats.
"Il est consternant qu'en cette période critique, où le Zimbabwe est en passe d'adopter une nouvelle Constitution plus vigoureuse en ce qui concerne la défense des droits humains, ceux qui défendent ces droits fassent l'objet d'attaques systématiques", a indiqué Noel Kututwa, directeur pour l'Afrique australe à Amnesty International.
Jestina Mukoko, qui se trouvait chez elle au moment de la diffusion de ces annonces, s'est rendue de son plein gré, le 8 mars au matin, au poste de police central de Harare. Elle a été inculpée de plusieurs chefs, avant d'être relâchée sous la garde de ses avocats.
"Il est consternant qu'en cette période critique, où le Zimbabwe est en passe d'adopter une nouvelle Constitution plus vigoureuse en ce qui concerne la défense des droits humains, ceux qui défendent ces droits fassent l'objet d'attaques systématiques", a indiqué Noel Kututwa, directeur pour l'Afrique australe à Amnesty International.
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