(c) Palais Princier
Le Prince a rappelé : "Depuis des mois et des années que nous préparons le sommet de l’après Kyoto, nous savons tous, je crois, ce que nous attendons de la réunion de Copenhague, au moins dans les grandes lignes : l’urgence est de mettre un terme à la spirale destructrice dans laquelle l’humanité se trouve plongée." Puis, Il a indiqué : "Nous savons bien que la menace climatique pèse aujourd’hui de manière très inégale sur les individus, fragilisant les plus pauvres, ceux qui vivent dans les conditions les plus exposées, les endroits les plus précaires, et épargnant davantage ceux qui ont les moyens d’adapter leur mode de vie". Le Prince a terminé son intervention en disant : "Les objectifs de Copenhague seront-ils faciles à atteindre ? Certainement pas. Mais il n’y a qu’ainsi que nous progresserons. Vous qui vivez chaque jour la compétition économique, vous le savez mieux que quiconque : c’est toujours de la contrainte que naît l’innovation, pas du confort. Dans ce domaine comme dans d’autres, c’est la difficulté de notre tâche qui nous obligera à faire preuve de courage et d’inventivité. C’est pourquoi nous devons être confiants et déterminés."
Ensuite, le Prince Souverain est retourné à l’ONU afin d’assister aux allocutions de M. Nicolas Sarkozy, Président de la République française, du Président de l’Union Européenne (Suède) et du représentant de l’Italie.
Ensuite, le Prince Souverain est retourné à l’ONU afin d’assister aux allocutions de M. Nicolas Sarkozy, Président de la République française, du Président de l’Union Européenne (Suède) et du représentant de l’Italie.
(c) Palais Princier
Dans l’après-midi, après un déjeuner offert par M. Ban Ki Moon, Secrétaire Général des Nations Unies, S.A.S. le Prince est intervenu à la tribune de la 64ème Assemblée Générale.
Le Prince Souverain a souligné que "plus que jamais, l’Assemblée générale doit être le « centre où s’harmonisent les efforts des nations vers les fins communes » définies à l’article 1er de la Charte."
Il a ensuite déclaré : "Plusieurs centaines de milliers de personnes bénéficient aujourd’hui des actions entreprises par mon Pays dans le cadre de sa coopération internationale dans les secteurs de la santé, de l’éducation et de la lutte contre la pauvreté. C’est pourquoi j’ai demandé que soit poursuivi notre effort de consacrer 0,7 % de notre PIB d’ici 2015 en faveur de l’aide publique au développement. (…) Cette aide au développement doit s’accompagner d’investissements à long terme visant à renforcer les capacités des pays en développement, notamment par des transferts de technologies appropriés en vue de respecter les impératifs du développement durable."
Puis, le Prince Souverain a indiqué : "Les mois qui viennent de s’écouler ont mis à rude épreuve l’économie mondiale. Si des signes de redressement commencent à apparaître, nous devons toutefois tirer les leçons de cette sombre année. La mondialisation de l’économie et l’interdépendance qui en découle rendent indispensable la réforme du système monétaire et financier international. (…) Nous devons tous ensemble reconstruire les bases solides d’un capitalisme à visage humain au bénéfice de la croissance et du développement social. Les circonstances nous donnent l’opportunité de créer une « économie verte » qui associe création d’emplois et dissémination de nouvelles technologies permettant une relance durable."
Il a ajouté : "Monaco continuera de travailler avec ses partenaires, c’est-à-dire tous et chacun d’entre vous, afin de mettre en œuvre les meilleures pratiques en matière de protection, d’assistance internationale et de renforcement des capacités avec pour seul objectif de sauver des vies humaines. La Principauté continuera également de répondre par la solidarité aux situations d’urgence humanitaire, en particulier au profit des femmes et des enfants dont la vulnérabilité n’est malheureusement plus à démontrer dans des circonstances de crises."
Le Prince Souverain a souligné que "plus que jamais, l’Assemblée générale doit être le « centre où s’harmonisent les efforts des nations vers les fins communes » définies à l’article 1er de la Charte."
Il a ensuite déclaré : "Plusieurs centaines de milliers de personnes bénéficient aujourd’hui des actions entreprises par mon Pays dans le cadre de sa coopération internationale dans les secteurs de la santé, de l’éducation et de la lutte contre la pauvreté. C’est pourquoi j’ai demandé que soit poursuivi notre effort de consacrer 0,7 % de notre PIB d’ici 2015 en faveur de l’aide publique au développement. (…) Cette aide au développement doit s’accompagner d’investissements à long terme visant à renforcer les capacités des pays en développement, notamment par des transferts de technologies appropriés en vue de respecter les impératifs du développement durable."
Puis, le Prince Souverain a indiqué : "Les mois qui viennent de s’écouler ont mis à rude épreuve l’économie mondiale. Si des signes de redressement commencent à apparaître, nous devons toutefois tirer les leçons de cette sombre année. La mondialisation de l’économie et l’interdépendance qui en découle rendent indispensable la réforme du système monétaire et financier international. (…) Nous devons tous ensemble reconstruire les bases solides d’un capitalisme à visage humain au bénéfice de la croissance et du développement social. Les circonstances nous donnent l’opportunité de créer une « économie verte » qui associe création d’emplois et dissémination de nouvelles technologies permettant une relance durable."
Il a ajouté : "Monaco continuera de travailler avec ses partenaires, c’est-à-dire tous et chacun d’entre vous, afin de mettre en œuvre les meilleures pratiques en matière de protection, d’assistance internationale et de renforcement des capacités avec pour seul objectif de sauver des vies humaines. La Principauté continuera également de répondre par la solidarité aux situations d’urgence humanitaire, en particulier au profit des femmes et des enfants dont la vulnérabilité n’est malheureusement plus à démontrer dans des circonstances de crises."