"La suspension de huit gardes de la Force de sécurité des frontières (BSF) ayant torturé un Bangladais appréhendé à la frontière n'est en rien le signe que les violations des droits humains donnent lieu à une réaction adaptée", a déclaré Amnesty International.
"Ce cas de torture présumé n'est que la partie émergente de l'iceberg. Chaque mois, ce sont des dizaines de Bangladais qui seraient torturés ou soumis à d'autres formes de mauvais traitements lorsque les gardes-frontières indiens mettent la main sur eux. Le fait que huit gardes indiens aient été suspendus ne prouve pas en soi que les responsables de la BSF cherchent à lutter contre les violations des droits humains – ces gardes ont uniquement été suspendus après que des séquences vidéo eurent été diffusées à la télévision indienne, gênant ainsi la BSF", a indiqué Abbas Faiz, spécialiste du Bangladesh à Amnesty International.
"Le gouvernement bangladais a déposé plainte auprès du gouvernement indien mais cela ne doit pas marquer la fin de cette affaire. Le Bangladesh doit maintenir la pression sur l'Inde afin d'inciter celle-ci à prendre des mesures énergiques pour protéger les citoyens bangladais et empêcher que de tels actes se reproduisent", a conclu Abbas Faiz.
"Ce cas de torture présumé n'est que la partie émergente de l'iceberg. Chaque mois, ce sont des dizaines de Bangladais qui seraient torturés ou soumis à d'autres formes de mauvais traitements lorsque les gardes-frontières indiens mettent la main sur eux. Le fait que huit gardes indiens aient été suspendus ne prouve pas en soi que les responsables de la BSF cherchent à lutter contre les violations des droits humains – ces gardes ont uniquement été suspendus après que des séquences vidéo eurent été diffusées à la télévision indienne, gênant ainsi la BSF", a indiqué Abbas Faiz, spécialiste du Bangladesh à Amnesty International.
"Le gouvernement bangladais a déposé plainte auprès du gouvernement indien mais cela ne doit pas marquer la fin de cette affaire. Le Bangladesh doit maintenir la pression sur l'Inde afin d'inciter celle-ci à prendre des mesures énergiques pour protéger les citoyens bangladais et empêcher que de tels actes se reproduisent", a conclu Abbas Faiz.
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