Pour lutter contre le réchauffement climatique, les pays de l’UE s’étaient donnés comme premier objectif de réduire leurs émissions de gaz à effet de serre de 20% en 2020 par rapport à 1990, puis de 40% en 2030. Afin d’essayer d’atteindre ces ambitions 20 pays se placent dans une dynamique de baisse.
D’après Eurostat et au regard des émissions de CO2 de 2017, les quatre pays qui ont marqué les plus fortes baisses dans l’UE en 2018 sont ; le Portugal (-9%), la Bulgarie (-8,1%) l’Irlande (-6,8%) et l’Allemagne (5,4%). Ce dernier reste malgré tout le plus important contributeur d’émissions de CO2 dans l’Union. Il représente 22% des émissions de CO2, suivi du Royaume Uni à 11,4%, ainsi que de la France, l’Italie et la Pologne qui sont chacun à 10%.
Les dérapages dus aux émissions de CO2 dans l’UE, proviennent de la Pologne (+3,5 %), la Slovaquie (+2,4 %), la Finlande (+1,9 %) la Lettonie (+8,5 %), l’Estonie (+4,5 %), la Lituanie (+0,6 %), Malte (+6,7 %) et le Luxembourg (+3,7 %).
Bien que la Lettonie ait connu la plus importante hausse de CO2 l’année dernière, le pays représente l’emprunte carbone la plus basse de l’UE avec 0,2 % des émissions globales de CO2.
Les émissions de CO2 représentent près de 80% des émissions de gaz à effet de serre dans l’Union européenne.
D’après Eurostat et au regard des émissions de CO2 de 2017, les quatre pays qui ont marqué les plus fortes baisses dans l’UE en 2018 sont ; le Portugal (-9%), la Bulgarie (-8,1%) l’Irlande (-6,8%) et l’Allemagne (5,4%). Ce dernier reste malgré tout le plus important contributeur d’émissions de CO2 dans l’Union. Il représente 22% des émissions de CO2, suivi du Royaume Uni à 11,4%, ainsi que de la France, l’Italie et la Pologne qui sont chacun à 10%.
Les dérapages dus aux émissions de CO2 dans l’UE, proviennent de la Pologne (+3,5 %), la Slovaquie (+2,4 %), la Finlande (+1,9 %) la Lettonie (+8,5 %), l’Estonie (+4,5 %), la Lituanie (+0,6 %), Malte (+6,7 %) et le Luxembourg (+3,7 %).
Bien que la Lettonie ait connu la plus importante hausse de CO2 l’année dernière, le pays représente l’emprunte carbone la plus basse de l’UE avec 0,2 % des émissions globales de CO2.
Les émissions de CO2 représentent près de 80% des émissions de gaz à effet de serre dans l’Union européenne.
Réduction des émissions de CO2 dans l'UE.mp3 (314.19 Ko)
Ces différents chiffres d’Eurostat rapportés par l’Agence France-Presse laissent pas mal d’internautes sur les réseaux sociaux dubitatifs. Pour certains, ils ne permettent pas de comprendre tous les enjeux du réchauffement climatique sans les associer à la situation globale mondiale, tandis que d’autres demeurent sceptiques sur ces baisses et ou rappellent que l’Union européenne vient d’entrer en déficit écologique d’après WWF.
De leur côté les climato-septiques voient le débat sur le réchauffement climatique comme une arnaque ou un lavage de cerveau.
Selon le dernier rapport de "la stratégie Europe 2020" présenté en 2018, les pays de l’Union devraient atteindre leurs objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre. D’après d’autres chiffres d’Eurostat, les 28 États membres de l’UE auraient déjà réduit leurs émissions de GES de 22,4% en 2016, par rapport aux niveaux de1990.
Néanmoins, les dernières publications du GIEC au niveau mondial demeurent alarmistes. L’Europe pourrait faire mieux pour renforcer ses objectifs climatiques en vue de les adapter à l’objectif maximum de réchauffement climatique de 1,5°C sur la planète.
En septembre 2018, le Secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres a qualifié la trajectoire du réchauffement climatique actuelle de "menace existentielle".
De leur côté les climato-septiques voient le débat sur le réchauffement climatique comme une arnaque ou un lavage de cerveau.
Selon le dernier rapport de "la stratégie Europe 2020" présenté en 2018, les pays de l’Union devraient atteindre leurs objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre. D’après d’autres chiffres d’Eurostat, les 28 États membres de l’UE auraient déjà réduit leurs émissions de GES de 22,4% en 2016, par rapport aux niveaux de1990.
Néanmoins, les dernières publications du GIEC au niveau mondial demeurent alarmistes. L’Europe pourrait faire mieux pour renforcer ses objectifs climatiques en vue de les adapter à l’objectif maximum de réchauffement climatique de 1,5°C sur la planète.
En septembre 2018, le Secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres a qualifié la trajectoire du réchauffement climatique actuelle de "menace existentielle".