Table pique nique en Galice (130.33 Ko)
Pour quelle raison demandera-t-on? Et comment cela est-il possible? Tout simplement parce que l'autorisation avait été donnée d'installer une table de pique-nique en béton à la place d'un tombeau du néolithique. Cette région est riche de nombreux sites archéologiques qui témoignent de la présence d'habitants il y a 6.000 ans. Sur le site, il y avait de vieilles pierres en granit recouvertes de mousse et personne n'avait imaginé que c'étaient des tombes collectives du néolithique. Et même le maire de la commune a affirmé ignorer qu'il s'agissait d'un site archéologique.
Après avoir découvert les faits, l'association écologique Outeiro a déposé une requête auprès d'une juridiction de Galice. "Il s’agissait d’une tombe du néolithique datant d’il y a plus de 6.000 ans, traditionnellement connue sous le nom de Mámoa, tumulus funéraire, qui, quand il avait été répertorié, il y a plus d’une décennie, avait encore des dalles de granit qui formaient la chambre funéraire".
Une enquête a été ordonnée par un juge pour trouver les responsables. Le journal local La Región révèle que la destruction ou les vols de biens culturels sont assez fréquents en Espagne et les autorités judiciaires se heurtent fréquemment à des vides juridiques. On ne peut donc pas punir les pilleurs ou les destructeurs de biens patrimoniaux.
Après avoir découvert les faits, l'association écologique Outeiro a déposé une requête auprès d'une juridiction de Galice. "Il s’agissait d’une tombe du néolithique datant d’il y a plus de 6.000 ans, traditionnellement connue sous le nom de Mámoa, tumulus funéraire, qui, quand il avait été répertorié, il y a plus d’une décennie, avait encore des dalles de granit qui formaient la chambre funéraire".
Une enquête a été ordonnée par un juge pour trouver les responsables. Le journal local La Región révèle que la destruction ou les vols de biens culturels sont assez fréquents en Espagne et les autorités judiciaires se heurtent fréquemment à des vides juridiques. On ne peut donc pas punir les pilleurs ou les destructeurs de biens patrimoniaux.