La Cour de cassation de Manama, la capitale, a ainsi confirmé lundi 30 janvier la peine de 18 mois de prison prononcée contre Fadhila Mubarak car celle-ci avait manifesté et écouté de la musique "révolutionnaire".
"Fadhila Mubarak est une prisonnière d'opinion. Elle aurait été frappée et torturée en détention, avant d'être condamnée à l'issue d'un procès inique devant un tribunal militaire, sur la base d'accusations mensongères alors qu'elle a seulement revendiqué ses droits", a expliqué Hassiba Hadj-Sahraoui, directrice adjointe du programme Moyen-Orient et Afrique du Nord d'Amnesty International.
"Fadhila Mubarak est une prisonnière d'opinion. Elle aurait été frappée et torturée en détention, avant d'être condamnée à l'issue d'un procès inique devant un tribunal militaire, sur la base d'accusations mensongères alors qu'elle a seulement revendiqué ses droits", a expliqué Hassiba Hadj-Sahraoui, directrice adjointe du programme Moyen-Orient et Afrique du Nord d'Amnesty International.
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