Photo (c) Jacques Renoir
Lorsqu’au plus fort de la crise Corinne Paolini décide de créer sa propre Maison d’édition elle n’a qu’une idée en tête : « donner vie à une collection identitaire et créative à la fois pour rendre lisible la mémoire ! »
Une mémoire qui s’enracine dans un terroir ; car pour Corinne : « il est nécessaire, pour pouvoir se projeter dans le futur, de connaître son passé ». C’est sur cette idée porteuse qu’elle bâtira les fondations de sa future maison d’édition ; et rien d’étonnant à ce que le premier ouvrage soit consacré à son village natal : Saint-Paul.
Pour donner corps à son projet, elle se rapproche de l’IRCE, dont la mission est la formation et l'accompagnement des futurs chefs d’entreprise ; deux consultants vont l’encourager à « aller au bout de sa passion », d’autant plus qu’elle lance un concept original, qu’elle baptise du nom de « cercle des souscripteurs », ses « compagnons de route » qu’elle sollicite et qui vont l’aider à sortir ces carnets d’inspiration, en passant commande bien avant la parution de l’ouvrage.
Et l’Encre d’or, fut !
Ainsi donc, l’encre d’or voit le jour, une homophonie qui rappelle que « l’ancrage dans un terroir » est bien la raison d’être de sa maison d’édition ; un cheminement que sa fondatrice veut à la fois touristique et historique, une promenade émotionnelle à travers un patrimoine culturel qui fait la part belle à l’histoire, mais aussi aux bonnes recettes d’antan, illustrée par Flora, sa fille.
Car Corinne Paolini veut prouver aux Azuréens que leur richesse réside dans leur patrimoine, comme dans la fable du laboureur et ses fils de Jean de Lafontaine, qui révèle que le plus grand trésor est finalement celui que l’on va rechercher à la racine.
Les carnets d’inspiration emmènent le promeneur dans des lieux comme la « Messuguière », une villa située à Cabris, aujourd’hui privée mais qui accueillit en résidence, des écrivains comme Camus qui y rédigea « l’homme révolté » ou bien encore Sartre i|« huis clos »]i, tout cela est raconté au fil des pages du dernier ouvrage que Corinne Paolini vient de publier.
Dans les prochains mois, les Carnets d’inspiration accoucheront d’un tout dernier opus, qui sera exclusivement consacré au Mercantour.
www.encredor.net
Une mémoire qui s’enracine dans un terroir ; car pour Corinne : « il est nécessaire, pour pouvoir se projeter dans le futur, de connaître son passé ». C’est sur cette idée porteuse qu’elle bâtira les fondations de sa future maison d’édition ; et rien d’étonnant à ce que le premier ouvrage soit consacré à son village natal : Saint-Paul.
Pour donner corps à son projet, elle se rapproche de l’IRCE, dont la mission est la formation et l'accompagnement des futurs chefs d’entreprise ; deux consultants vont l’encourager à « aller au bout de sa passion », d’autant plus qu’elle lance un concept original, qu’elle baptise du nom de « cercle des souscripteurs », ses « compagnons de route » qu’elle sollicite et qui vont l’aider à sortir ces carnets d’inspiration, en passant commande bien avant la parution de l’ouvrage.
Et l’Encre d’or, fut !
Ainsi donc, l’encre d’or voit le jour, une homophonie qui rappelle que « l’ancrage dans un terroir » est bien la raison d’être de sa maison d’édition ; un cheminement que sa fondatrice veut à la fois touristique et historique, une promenade émotionnelle à travers un patrimoine culturel qui fait la part belle à l’histoire, mais aussi aux bonnes recettes d’antan, illustrée par Flora, sa fille.
Car Corinne Paolini veut prouver aux Azuréens que leur richesse réside dans leur patrimoine, comme dans la fable du laboureur et ses fils de Jean de Lafontaine, qui révèle que le plus grand trésor est finalement celui que l’on va rechercher à la racine.
Les carnets d’inspiration emmènent le promeneur dans des lieux comme la « Messuguière », une villa située à Cabris, aujourd’hui privée mais qui accueillit en résidence, des écrivains comme Camus qui y rédigea « l’homme révolté » ou bien encore Sartre i|« huis clos »]i, tout cela est raconté au fil des pages du dernier ouvrage que Corinne Paolini vient de publier.
Dans les prochains mois, les Carnets d’inspiration accoucheront d’un tout dernier opus, qui sera exclusivement consacré au Mercantour.
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