Susan Boyle était une chômeuse de 47 ans vivant seule avec son chat Peebles dans la petite ville de Blackburn (Écosse). Elle est aujourd'hui l'objet de toutes les sollicitations, invitée par Oprah Winfrey et Larry King à la télévision américaine et réclamée par les rédactions du monde entier. Son entrée aussi fracassante qu'inattendue dans le monde du show-business n'aura duré que quelques minutes. Juste le temps qu'il lui a fallu pour interpréter « I Dreamed a Dream » - chanson tirée de la comédie musicale Les Misérables, interprétée par la vedette Elaine Page.
Avec assurance, cette « vieille fille » de 47 ans qui n’a jamais connu de succès tant amoureux qu’artistique, chante depuis l’âge de 12 ans.
Le jury, connu pour ses jugements caustiques, et le public voyant arriver cette dame « qui-ne-paye-pas-de-mine », ne fait que rire et rayer la candidate que personne ne prend au sérieux. Elle ne correspond à aucun code télévisuel: elle n’est pas télégénique, son accent écossais est très prononcé, sa démarche est peu élégante, sa robe sort tout droit des campagnes les plus éloignées, son allure de bucheronne n’arrange rien.
Cependant, son rêve était de pouvoir chanter. En faire sa profession. La vie ne lui a pas donné, jusque là, de chance. Mais son rêve, ce rêve, elle ne l’a jamais lâché. Alors, avec courage, simplicité et sans aucune arrière pensée, la musique commence, elle ouvre la bouche et une voix angélique se fait entendre dans les haut-parleurs et sur les ondes. La réaction stupéfiante ne se fait pas attendre: la foule se lève, le jury aussi. La surprise est la plus complète!
En un instant, elle a bouleversé toutes les notions de mesure de la beauté!
Voici une leçon extraordinaire, un réveil collectif qui nous pousse à une réflexion rare : comment jugeons-nous la capacité ou les compétences d’un individu? A quel point n’avons-pas été habitué a ne regarder qu’une enveloppe extérieure sans donner sa chance à ceux qui tente de réussir?
Combien de fois ne nous sommes pas rendu coupables de tels jugements?
Que tirer comme leçon pour nous individuellement?
Pour ceux qui se reconnaissent en Susan Boyle: inspirez-vous de cet exemple fantastique! Tentez votre chance et épatez ceux qui vous entourent! Ne vous laissez pas abattre par votre entourage, vos détracteurs ou vos « amis ». Si vous savez être capable de quelque chose, lancez-vous! Comme Susan, ne vous laissez pas diminuer par des rires ou des railleries. Oui, elles peuvent être douloureuses, mortelles, cinglantes, cyniques. Néanmoins, vous seuls savez ce que vous avez en vous. Prenez votre revanche à votre tour: vous le pouvez aussi!
Nous avons tous quelque chose de beau à partager, à offrir!
Avec assurance, cette « vieille fille » de 47 ans qui n’a jamais connu de succès tant amoureux qu’artistique, chante depuis l’âge de 12 ans.
Le jury, connu pour ses jugements caustiques, et le public voyant arriver cette dame « qui-ne-paye-pas-de-mine », ne fait que rire et rayer la candidate que personne ne prend au sérieux. Elle ne correspond à aucun code télévisuel: elle n’est pas télégénique, son accent écossais est très prononcé, sa démarche est peu élégante, sa robe sort tout droit des campagnes les plus éloignées, son allure de bucheronne n’arrange rien.
Cependant, son rêve était de pouvoir chanter. En faire sa profession. La vie ne lui a pas donné, jusque là, de chance. Mais son rêve, ce rêve, elle ne l’a jamais lâché. Alors, avec courage, simplicité et sans aucune arrière pensée, la musique commence, elle ouvre la bouche et une voix angélique se fait entendre dans les haut-parleurs et sur les ondes. La réaction stupéfiante ne se fait pas attendre: la foule se lève, le jury aussi. La surprise est la plus complète!
En un instant, elle a bouleversé toutes les notions de mesure de la beauté!
Voici une leçon extraordinaire, un réveil collectif qui nous pousse à une réflexion rare : comment jugeons-nous la capacité ou les compétences d’un individu? A quel point n’avons-pas été habitué a ne regarder qu’une enveloppe extérieure sans donner sa chance à ceux qui tente de réussir?
Combien de fois ne nous sommes pas rendu coupables de tels jugements?
Que tirer comme leçon pour nous individuellement?
Pour ceux qui se reconnaissent en Susan Boyle: inspirez-vous de cet exemple fantastique! Tentez votre chance et épatez ceux qui vous entourent! Ne vous laissez pas abattre par votre entourage, vos détracteurs ou vos « amis ». Si vous savez être capable de quelque chose, lancez-vous! Comme Susan, ne vous laissez pas diminuer par des rires ou des railleries. Oui, elles peuvent être douloureuses, mortelles, cinglantes, cyniques. Néanmoins, vous seuls savez ce que vous avez en vous. Prenez votre revanche à votre tour: vous le pouvez aussi!
Nous avons tous quelque chose de beau à partager, à offrir!