Ukraine.mp3 (301.43 Ko)
Le rapport intitulé "EuroMaydan: Human rights violations during protests in Ukraine" passe en revue les violations commises dans le cadre des efforts du gouvernement pour réfréner le droit à la liberté de réunion depuis un mois. Il dresse la liste des recours excessifs à la force qui sont le fait des responsables de l’application des lois, des procès iniques et des actes de harcèlement contre les personnes qui se sont plaintes des brutalités subies.
"Si les personnes accusées d’infractions pénales et administratives lors des manifestations ont été graciées, cela ne dispense pas les autorités ukrainiennes de leur responsabilité pour les atteintes aux droits humains commises depuis un mois. Les gouvernements ukrainiens successifs n’ont pas remédié aux lacunes profondément ancrées du système de maintien de l’ordre et de la justice pénale. Il est primordial que les auteurs de violations des droits humains soient amenés à rendre des comptes", a indiqué Heather McGill, chercheuse sur l’Ukraine à Amnesty International.
"Si les personnes accusées d’infractions pénales et administratives lors des manifestations ont été graciées, cela ne dispense pas les autorités ukrainiennes de leur responsabilité pour les atteintes aux droits humains commises depuis un mois. Les gouvernements ukrainiens successifs n’ont pas remédié aux lacunes profondément ancrées du système de maintien de l’ordre et de la justice pénale. Il est primordial que les auteurs de violations des droits humains soient amenés à rendre des comptes", a indiqué Heather McGill, chercheuse sur l’Ukraine à Amnesty International.