Mme Migiro, lors de son discours à la tribune de la 19ème session de l'Assemblée générale de l'Organisation mondiale du tourisme des Nations Unies (OMT) qui a lieu à Gyeongju en République de Corée, a souligné que le tourisme est devenu l'un des secteurs de l'économie principal et a vivement encouragé les gouvernements, les bailleurs de fonds et les institutions financières internationaux à "débloquer le potentiel du tourisme".
La Vice Secrétaire générale des Nations Unies, a indiqué qu'elle avait été personnellement témoin des bénéfices que le tourisme peut apporter, comme l'exemple, dans son village natal sur le flanc du mont Kilimandjaro en Tanzanie, à proximité de la plaine du Serengeti et du cratère de Ngorongoro. "Au fil des années, j'ai vu comment le tourisme a contribué à changer la face de ce paysage majestueux en apportant des hôtels de luxe, des routes goudronnées et des emplois. Des personnes du monde entier sont venues voir les merveilles de mon pays, et du continent africain. Ils ont découvert la diversité et la richesse des cultures et des traditions. Nous avons tissé des relations et facilité la compréhension mutuelle. C'est la grande force du tourisme".
Et malgré ce potentiel économique "Le tourisme ne figure pas non plus en haut de nos priorités pour des politiques de durabilité. Nous devrions travailler pour changer cela et je vous encourage à plaider pour utiliser le potentiel du tourisme à créer des emplois et à attirer les investissements étrangers pour stimuler les économies locales". Sans oublier que le tourisme peu continuer à prospérer que dans cette règle fondamentale du respect des valeurs de liberté, d'égalité, de tolérance, de respect pour la nature et de la dignité humaine.
Un nouveau rapport du Programme des Nations Unies pour l'environnement (PNUE) intitulé "Changement climatique et politiques de tourisme dans les pays de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE)", recommande que davantage d'attention soit accordée à la question du climat par le secteur du tourisme.
Une étude récente montre que la majorité de l';énergie utilisée par le secteur du tourisme provient des carburants fossiles et que le secteur est responsable d';environ 5% du total des émissions de gaz à effet de serre au monde. L'aviation est responsable de 40% des émissions du secteur, alors que le transport routier représente 32% et l'hébergement 21%.
Le rapport met en évidence qu'il est possible d'dentifier l'impact actuel et futur et d'identifier les besoins d'adaptation en citant les exemples de l'Autriche, de l'Allemagne, de l'Irlande et de l'Afrique du sud. La conclusion du rapport montre que dans presque tous les pays, les objectifs d'adaptation doivent encore être définis.
"La réduction de l';impact du tourisme sur le climat est essentielle pour le développement et la croissance de l';industrie, tant pour respecter les grandes politiques en matière climatique, mais aussi pour conserver les sites que les touristes veulent visiter", a conclu le chef du Centre pour l'entreprenariat de l'unité tourisme de l'OCDE, Alain Dupeyras.
La Vice Secrétaire générale des Nations Unies, a indiqué qu'elle avait été personnellement témoin des bénéfices que le tourisme peut apporter, comme l'exemple, dans son village natal sur le flanc du mont Kilimandjaro en Tanzanie, à proximité de la plaine du Serengeti et du cratère de Ngorongoro. "Au fil des années, j'ai vu comment le tourisme a contribué à changer la face de ce paysage majestueux en apportant des hôtels de luxe, des routes goudronnées et des emplois. Des personnes du monde entier sont venues voir les merveilles de mon pays, et du continent africain. Ils ont découvert la diversité et la richesse des cultures et des traditions. Nous avons tissé des relations et facilité la compréhension mutuelle. C'est la grande force du tourisme".
Et malgré ce potentiel économique "Le tourisme ne figure pas non plus en haut de nos priorités pour des politiques de durabilité. Nous devrions travailler pour changer cela et je vous encourage à plaider pour utiliser le potentiel du tourisme à créer des emplois et à attirer les investissements étrangers pour stimuler les économies locales". Sans oublier que le tourisme peu continuer à prospérer que dans cette règle fondamentale du respect des valeurs de liberté, d'égalité, de tolérance, de respect pour la nature et de la dignité humaine.
Un nouveau rapport du Programme des Nations Unies pour l'environnement (PNUE) intitulé "Changement climatique et politiques de tourisme dans les pays de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE)", recommande que davantage d'attention soit accordée à la question du climat par le secteur du tourisme.
Une étude récente montre que la majorité de l';énergie utilisée par le secteur du tourisme provient des carburants fossiles et que le secteur est responsable d';environ 5% du total des émissions de gaz à effet de serre au monde. L'aviation est responsable de 40% des émissions du secteur, alors que le transport routier représente 32% et l'hébergement 21%.
Le rapport met en évidence qu'il est possible d'dentifier l'impact actuel et futur et d'identifier les besoins d'adaptation en citant les exemples de l'Autriche, de l'Allemagne, de l'Irlande et de l'Afrique du sud. La conclusion du rapport montre que dans presque tous les pays, les objectifs d'adaptation doivent encore être définis.
"La réduction de l';impact du tourisme sur le climat est essentielle pour le développement et la croissance de l';industrie, tant pour respecter les grandes politiques en matière climatique, mais aussi pour conserver les sites que les touristes veulent visiter", a conclu le chef du Centre pour l'entreprenariat de l'unité tourisme de l'OCDE, Alain Dupeyras.
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