La situation des droits humains dans le monde
Droits humains 090716.mp3 (414.49 Ko)
Au moins 500 civils ont été tués depuis que Boko Haram a intensifié ses attaques au Cameroun et a commencé à cibler délibérément les civils dans des attentats-suicides.
En Malaisie, la police continue de se soustraire à l'obligation de rendre des comptes, même pour des violations flagrantes des droits humains.
Les droits humains se trouvent de nouveau menacés en RDC car les autorités répriment durement les militants de l’opposition et les défenseurs des droits humains.
Le procès qui s'est ouvert le 29 juin 2016 au Maroc contre sept journalistes pourrait créer un dangereux précédent en matière de restriction de la liberté d'expression.
Les autorités doivent veiller à ce que l'homicide du général de corps d'armée Maaparankoe Mahao par des membres des Forces de défense du Lesotho fasse l'objet d'une enquête approfondie et efficace.
Amnesty International et plusieurs organisations présentent des preuves accablantes qui attestent que les parties au conflit au Yémen, dont la coalition menée par l’Arabie saoudite, commettent des crimes de guerre. Les transferts d’armes de la France à l’Arabie saoudite constituent un risque très sérieux d’atteintes aux droits humains perpétrées dans le cadre de ce conflit.
En Malaisie, la police continue de se soustraire à l'obligation de rendre des comptes, même pour des violations flagrantes des droits humains.
Les droits humains se trouvent de nouveau menacés en RDC car les autorités répriment durement les militants de l’opposition et les défenseurs des droits humains.
Le procès qui s'est ouvert le 29 juin 2016 au Maroc contre sept journalistes pourrait créer un dangereux précédent en matière de restriction de la liberté d'expression.
Les autorités doivent veiller à ce que l'homicide du général de corps d'armée Maaparankoe Mahao par des membres des Forces de défense du Lesotho fasse l'objet d'une enquête approfondie et efficace.
Amnesty International et plusieurs organisations présentent des preuves accablantes qui attestent que les parties au conflit au Yémen, dont la coalition menée par l’Arabie saoudite, commettent des crimes de guerre. Les transferts d’armes de la France à l’Arabie saoudite constituent un risque très sérieux d’atteintes aux droits humains perpétrées dans le cadre de ce conflit.