Selon l'APS "ces évènements pourraient être la riposte de l'armée à l'attaque qu'elle a subie, jeudi vers 15h, à Diabir, d'éléments supposés appartenir au mouvement des forces démocratiques de Casamance (MFDC) qui ont occasionné la mort d'un militaire".
Cette spirale d'attaque-riposte, de ces derniers temps, est en passe de compromettre le calme régnant dans cette région depuis quelques années.
"Les 21 et 25 août, des combats ont opposé l'armée à des éléments du MFDC. Des confrontations au cours desquelles des tirs ont atteint l'université de Ziguinchor san faire de victimes", renseigne notre source.
Par ailleurs, César Atoute Badiane, chef de la branche armée du mouvement séparatiste, Atike, a signé et rendu public, ce mercredi, un communiqué dans lequel, il explique les évènements du 21août par une "réponse à une attaque".
Selon lui, des militaires ont tiré sur leurs éléments venus vendre leurs fruits à Kassana, village situé à une dizaine de kilomètres des positions de l'armée.
Dans le même texte, cité en référence, Atika "dénonce un boycott du processus de paix en Casamance par le gouvernement". Et d'ajouter: "Si l'on se souvient bien Atika a cessé ses activités guerrières pour prétendre trouver une solution négociée à la crise casamançaise, contrairement à la décision du Sénégal qui opte pour la résolution de la crise par la force".
Cette spirale d'attaque-riposte, de ces derniers temps, est en passe de compromettre le calme régnant dans cette région depuis quelques années.
"Les 21 et 25 août, des combats ont opposé l'armée à des éléments du MFDC. Des confrontations au cours desquelles des tirs ont atteint l'université de Ziguinchor san faire de victimes", renseigne notre source.
Par ailleurs, César Atoute Badiane, chef de la branche armée du mouvement séparatiste, Atike, a signé et rendu public, ce mercredi, un communiqué dans lequel, il explique les évènements du 21août par une "réponse à une attaque".
Selon lui, des militaires ont tiré sur leurs éléments venus vendre leurs fruits à Kassana, village situé à une dizaine de kilomètres des positions de l'armée.
Dans le même texte, cité en référence, Atika "dénonce un boycott du processus de paix en Casamance par le gouvernement". Et d'ajouter: "Si l'on se souvient bien Atika a cessé ses activités guerrières pour prétendre trouver une solution négociée à la crise casamançaise, contrairement à la décision du Sénégal qui opte pour la résolution de la crise par la force".