Témoignages de réfugiés syriens.mp3 (150.2 Ko)
Intitulé "Hardship, Hope and Resettlement: Refugees from Syria tell their stories", ce document met l’accent sur le fait que la réinstallation à l’étranger peut offrir à certains des réfugiés les plus vulnérables une opportunité unique de reconstruire leur vie. Sa publication marque le lancement de la campagne d’Amnesty International #OpenToSyria.
Cette campagne vise à faire pression sur les pays riches, en s’appuyant sur leurs populations, afin qu’ils accueillent un plus grand nombre de réfugiés originaires de Syrie, grâce aux programmes de réinstallation et d’admission humanitaire. Jusqu’à présent, la réponse du monde à la crise en Syrie est lamentable et certains des pays les plus riches n’ont quasiment rien fait.
"Avec près de quatre millions de réfugiés, l’ampleur de la crise est accablante. Ce rapport raconte l’histoire des visages qui se cachent derrière ces chiffres, des personnes qui témoignent avec leurs propres mots. Beaucoup ont traversé l’enfer, ont enduré des épreuves terribles et doivent encore lutter chaque jour dans leur vie de réfugiés. La réinstallation peut contribuer à leur offrir un appui indispensable : une lueur d’espoir en un avenir meilleur", a déclaré Sherif Elsayed Ali, responsable du programme Droits des réfugiés et des migrants d’Amnesty International.
Le Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) a identifié 380.000 réfugiés comme étant vulnérables et ayant besoin d’une réinstallation, notamment des victimes de torture et de viol, des mineurs malades ou non accompagnés, et d’autres personnes considérées comme vulnérables. Seule une infime proportion de ces réfugiés s’est vu offrir une place d’accueil à l’étranger.
Tout en permettant aux réfugiés de reconstruire leur vie dans la paix et la stabilité, en ayant accès aux soins et à l’aide dont ils ont besoin, la réinstallation permet de partager la responsabilité de cette crise historique. Actuellement, cinq pays voisins de la Syrie accueillent 95% des réfugiés ayant fui le conflit, et certains, comme le Liban, sont tout simplement incapables de faire face aux pressions générées par cet afflux.
Cette campagne vise à faire pression sur les pays riches, en s’appuyant sur leurs populations, afin qu’ils accueillent un plus grand nombre de réfugiés originaires de Syrie, grâce aux programmes de réinstallation et d’admission humanitaire. Jusqu’à présent, la réponse du monde à la crise en Syrie est lamentable et certains des pays les plus riches n’ont quasiment rien fait.
"Avec près de quatre millions de réfugiés, l’ampleur de la crise est accablante. Ce rapport raconte l’histoire des visages qui se cachent derrière ces chiffres, des personnes qui témoignent avec leurs propres mots. Beaucoup ont traversé l’enfer, ont enduré des épreuves terribles et doivent encore lutter chaque jour dans leur vie de réfugiés. La réinstallation peut contribuer à leur offrir un appui indispensable : une lueur d’espoir en un avenir meilleur", a déclaré Sherif Elsayed Ali, responsable du programme Droits des réfugiés et des migrants d’Amnesty International.
Le Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) a identifié 380.000 réfugiés comme étant vulnérables et ayant besoin d’une réinstallation, notamment des victimes de torture et de viol, des mineurs malades ou non accompagnés, et d’autres personnes considérées comme vulnérables. Seule une infime proportion de ces réfugiés s’est vu offrir une place d’accueil à l’étranger.
Tout en permettant aux réfugiés de reconstruire leur vie dans la paix et la stabilité, en ayant accès aux soins et à l’aide dont ils ont besoin, la réinstallation permet de partager la responsabilité de cette crise historique. Actuellement, cinq pays voisins de la Syrie accueillent 95% des réfugiés ayant fui le conflit, et certains, comme le Liban, sont tout simplement incapables de faire face aux pressions générées par cet afflux.