Dictons
Mon pied droit est jaloux de mon pied gauche. Quand l'un avance, l'autre veut le dépasser. Et moi, comme un imbécile, je suis le mouvement.
Personne n'a vécu dans le passé, personne ne vivra dans le futur; le présent est le mode de toute vie, que malheureusement on oublie.
Pensons aujourd’hui comme si l’on devait vivre longtemps, mais vivons comme si l’on devait mourir demain.
L'homme a besoin de ce qu'il y a de mauvais en lui s'il veut parvenir à ce qu'il a de meilleur, pour se construire un avenir.
Il nous faut retenir notre cœur, car si on le laisse aller, combien vite, alors, on perdrait la tête et tout contrôle de son être.
Certains jours, j'ai rêvé d'une gomme pour effacer l'immonde humanité.
Vouloir l’inaccessible, rève est aussi absurde que de vouloir rattraper son ombre.
Il faut savoir chasser la bêtise parce qu'elle rend bête ceux qui la trouvent.
Le blanc sonne comme un silence, un rien avant tout commencement;
le bleu joue comme un songe, une image d’un fondement;
le rouge bouge d’une flamme elle déclame, comme une lumière, un bruit dans l’air;
le vert l’image de la naissance de l’esprit, comme une joie de l’amour;
le jaune, la révélation du bonheur;
le pourpre vibre comme la vérité des choses.
Que dire de tout cela? Ces vérités ne sont pas toutes bonnes à dire.
Personne n'a vécu dans le passé, personne ne vivra dans le futur; le présent est le mode de toute vie, que malheureusement on oublie.
Pensons aujourd’hui comme si l’on devait vivre longtemps, mais vivons comme si l’on devait mourir demain.
L'homme a besoin de ce qu'il y a de mauvais en lui s'il veut parvenir à ce qu'il a de meilleur, pour se construire un avenir.
Il nous faut retenir notre cœur, car si on le laisse aller, combien vite, alors, on perdrait la tête et tout contrôle de son être.
Certains jours, j'ai rêvé d'une gomme pour effacer l'immonde humanité.
Vouloir l’inaccessible, rève est aussi absurde que de vouloir rattraper son ombre.
Il faut savoir chasser la bêtise parce qu'elle rend bête ceux qui la trouvent.
Le blanc sonne comme un silence, un rien avant tout commencement;
le bleu joue comme un songe, une image d’un fondement;
le rouge bouge d’une flamme elle déclame, comme une lumière, un bruit dans l’air;
le vert l’image de la naissance de l’esprit, comme une joie de l’amour;
le jaune, la révélation du bonheur;
le pourpre vibre comme la vérité des choses.
Que dire de tout cela? Ces vérités ne sont pas toutes bonnes à dire.