L’Afrique francophone devrait elle se mettre au bilinguisme?
Et pour cause, l’Afrique anglophone se porte mieux que l’Afrique francophone et en plus, la langue anglaise s’impose désormais dans le monde du travail. Les multinationales qui s’implantent en Afrique, sont généralement anglophone donc les demandeurs d’emploi auraient plus a gagner a parler l’anglais.
Le bilinguisme est d’ailleurs une nécessité à ne point douter dans la zone francophone et ce serait être pire aveugle que de refuser d’accepter un fait évident aux yeux de tous. Et une triste réalité se dégage sur le terrain, l’Afrique anglophone est nettement mieux avancée en matière d’infrastructure, d’investissement, d’entreprenariat et même d’éducation que la partie francophone du continent. Ne parlons même pas de l’Afrique arabophone qui semble ne rien avoir en commun avec le reste.
Est-ce qu'il y a un rapport entre la langue et le développement d’un espace? C’est la question qu’on se pose et si on ne peut pas y répondre à l’affirmatif totale, une chose est certaine les modèles de développement économiques appliqués par ces différents mondes, francophones, anglophone et arabophones parlent d’eux même. Par exemple, le site d'emploi diaspocareers.com publie plus de 3000 offres d'emploi par mois en anglais destinés aux professionnels vivant dans les pays francophones d'Afrique. Et comme la majorité ne parle pas anglais, les employeurs se voient obligés de recruter des expatries, ce qui n'aide pas à réduire le taux du chômage dans l'espace francophone. Un autre avantage au bilinguisme dans la zone francophone, c’est la création et la promotion des nouvelles carrières en Afrique telles l’interprétariat et traduction, l’enseignement sans oublier les opportunités d'emploi en Afrique apportes par les multinationales.
La réalité est que le monde du travail est actuellement dominé par la langue anglaise, les travaux de recherches se font en anglais, les colloques et conférences internationales se déroulent dans cette langue. Alors quoi de plus naturel pour la zone francophone de se mettre au bilinguisme, briser son carcan francophone qui, à ce jour, ressemble plus à une camisole qu’à un bon environnement pour le développement socio-économique d’un pays.
Le bilinguisme est d’ailleurs une nécessité à ne point douter dans la zone francophone et ce serait être pire aveugle que de refuser d’accepter un fait évident aux yeux de tous. Et une triste réalité se dégage sur le terrain, l’Afrique anglophone est nettement mieux avancée en matière d’infrastructure, d’investissement, d’entreprenariat et même d’éducation que la partie francophone du continent. Ne parlons même pas de l’Afrique arabophone qui semble ne rien avoir en commun avec le reste.
Est-ce qu'il y a un rapport entre la langue et le développement d’un espace? C’est la question qu’on se pose et si on ne peut pas y répondre à l’affirmatif totale, une chose est certaine les modèles de développement économiques appliqués par ces différents mondes, francophones, anglophone et arabophones parlent d’eux même. Par exemple, le site d'emploi diaspocareers.com publie plus de 3000 offres d'emploi par mois en anglais destinés aux professionnels vivant dans les pays francophones d'Afrique. Et comme la majorité ne parle pas anglais, les employeurs se voient obligés de recruter des expatries, ce qui n'aide pas à réduire le taux du chômage dans l'espace francophone. Un autre avantage au bilinguisme dans la zone francophone, c’est la création et la promotion des nouvelles carrières en Afrique telles l’interprétariat et traduction, l’enseignement sans oublier les opportunités d'emploi en Afrique apportes par les multinationales.
La réalité est que le monde du travail est actuellement dominé par la langue anglaise, les travaux de recherches se font en anglais, les colloques et conférences internationales se déroulent dans cette langue. Alors quoi de plus naturel pour la zone francophone de se mettre au bilinguisme, briser son carcan francophone qui, à ce jour, ressemble plus à une camisole qu’à un bon environnement pour le développement socio-économique d’un pays.