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En réaction à la publication d’une série de vidéos montrant semble-t-il des dizaines de civils, dont de nombreux enfants, ayant été tués par des armes chimiques aux abords de Damas, la capitale syrienne, Hassiba Hadj Sahraoui, directrice adjointe du programme Moyen-Orient et Afrique du Nord d’Amnesty International, a déclaré:
"Les allégations selon lesquelles des armes chimiques ont été utilisées contre des civils syriens, qu’Amnesty International n’a pas été en mesure de confirmer de manière indépendante, illustrent la pressante nécessité pour l’équipe des Nations unies se trouvant actuellement en Syrie d’être pleinement mandatée et habilitée à se rendre librement sur tous les sites afin d’enquêter sur les cas de recours présumé à des armes chimiques, dont ceux-ci. Quel serait l’intérêt d’avoir une équipe d’experts des Nations unies dans le pays s’ils ne sont pas autorisés à accéder aux sites où ces attaques ont apparemment eu lieu, à recueillir des échantillons et à enquêter? Les autorités syriennes, qui nient toute responsabilité, doivent immédiatement permettre à l’équipe des Nations unies de se rendre dans la Ghouta orientale et dans d’autres zones."
"Les allégations selon lesquelles des armes chimiques ont été utilisées contre des civils syriens, qu’Amnesty International n’a pas été en mesure de confirmer de manière indépendante, illustrent la pressante nécessité pour l’équipe des Nations unies se trouvant actuellement en Syrie d’être pleinement mandatée et habilitée à se rendre librement sur tous les sites afin d’enquêter sur les cas de recours présumé à des armes chimiques, dont ceux-ci. Quel serait l’intérêt d’avoir une équipe d’experts des Nations unies dans le pays s’ils ne sont pas autorisés à accéder aux sites où ces attaques ont apparemment eu lieu, à recueillir des échantillons et à enquêter? Les autorités syriennes, qui nient toute responsabilité, doivent immédiatement permettre à l’équipe des Nations unies de se rendre dans la Ghouta orientale et dans d’autres zones."