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"Les autorités syriennes doivent abandonner les charges retenues contre cinq défenseurs des droits humains dont le procès manifestement inique pour terrorisme a été suspendu le 26 juin pour deux mois", a déclaré Amnesty International.
Les cinq membres du Centre syrien pour les médias et la liberté d’expression (SCM), qui auraient tous été torturés ou maltraités en détention, devaient comparaître devant le tribunal de lutte contre le terrorisme à Damas le 26 juin 2013.
Leur procès a été reporté au 21 août, ce qui signifie que les trois militants qui sont toujours en détention resteront derrière les barreaux.
"Ce procès est manifestement inique. Le seul "crime" commis par ces militants est d’avoir fait leur travail légitime en faveur des droits humains. Les autorités syriennes doivent abandonner les accusations fallacieuses portées contre eux", a indiqué Philip Luther, directeur du programme Afrique du Nord et Moyen-Orient d’Amnesty International.
Les cinq membres du Centre syrien pour les médias et la liberté d’expression (SCM), qui auraient tous été torturés ou maltraités en détention, devaient comparaître devant le tribunal de lutte contre le terrorisme à Damas le 26 juin 2013.
Leur procès a été reporté au 21 août, ce qui signifie que les trois militants qui sont toujours en détention resteront derrière les barreaux.
"Ce procès est manifestement inique. Le seul "crime" commis par ces militants est d’avoir fait leur travail légitime en faveur des droits humains. Les autorités syriennes doivent abandonner les accusations fallacieuses portées contre eux", a indiqué Philip Luther, directeur du programme Afrique du Nord et Moyen-Orient d’Amnesty International.