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La haut-commissaire aux droits de l’homme des Nations unies a effectué sa première visite officielle au Sri Lanka du 25 au 31 août 2013. Cette visite intervient tout juste avant que les Nations unies et le Commonwealth n’examinent la situation des droits humains dans le pays en septembre.
Lors de la conférence de presse qu’elle a tenue samedi 31 août pour clore sa visite, Navi Pillay a indiqué que de nombreuses personnes qui l’avaient rencontrée lors de son séjour, ou souhaitaient le faire, avaient été menacées par les forces de sécurité, et que les contestataires au Sri Lanka étaient "très souvent attaqués, voire réduits au silence de manière permanente".
"L’avis exprimé par Navi Pillay lors de sa visite rejoint nos propres conclusions sur la situation des droits humains dans le pays. Il est extrêmement dangereux de critiquer la politique gouvernementale au Sri Lanka, et l’ampleur des manœuvres de harcèlement utilisées contre les détracteurs pour les faire taire est choquante", a expliqué Polly Truscott, directrice adjointe du programme Asie-Pacifique d’Amnesty International.
Lors de la conférence de presse qu’elle a tenue samedi 31 août pour clore sa visite, Navi Pillay a indiqué que de nombreuses personnes qui l’avaient rencontrée lors de son séjour, ou souhaitaient le faire, avaient été menacées par les forces de sécurité, et que les contestataires au Sri Lanka étaient "très souvent attaqués, voire réduits au silence de manière permanente".
"L’avis exprimé par Navi Pillay lors de sa visite rejoint nos propres conclusions sur la situation des droits humains dans le pays. Il est extrêmement dangereux de critiquer la politique gouvernementale au Sri Lanka, et l’ampleur des manœuvres de harcèlement utilisées contre les détracteurs pour les faire taire est choquante", a expliqué Polly Truscott, directrice adjointe du programme Asie-Pacifique d’Amnesty International.