Si la nouvelle résolution de l’ONU met parfaitement en lumière les violations des droits humains, passées et présentes, commises au Sri Lanka, elle ne prévoit pas la tenue d’une enquête internationale indépendante sur les allégations de crimes de droit international, a regretté Amnesty International.
Dans la matinée du 21 mars 2013, le Conseil des droits de l'homme des Nations unies réuni à Genève a adopté une résolution sur la nécessité de favoriser la réconciliation et l’obligation de rendre des comptes au Sri Lanka, dans le sillage du conflit armé qui s’est achevé en 2009.
Yolanda Foster, spécialiste du Sri Lanka à Amnesty International, a indiqué: "C’est une évolution positive. Les États membres de l’ONU ont adressé un signal clair au gouvernement sri-lankais, en affirmant que les crimes du passé ne pouvaient être ignorés, mais devaient faire l’objet d’enquêtes et de poursuites."
Dans la matinée du 21 mars 2013, le Conseil des droits de l'homme des Nations unies réuni à Genève a adopté une résolution sur la nécessité de favoriser la réconciliation et l’obligation de rendre des comptes au Sri Lanka, dans le sillage du conflit armé qui s’est achevé en 2009.
Yolanda Foster, spécialiste du Sri Lanka à Amnesty International, a indiqué: "C’est une évolution positive. Les États membres de l’ONU ont adressé un signal clair au gouvernement sri-lankais, en affirmant que les crimes du passé ne pouvaient être ignorés, mais devaient faire l’objet d’enquêtes et de poursuites."
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