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Amnesty International et Human Rights Watch ont révélé que, dans le contexte d’un conflit armé interne qui fait rage depuis sept mois dans presque tout le pays, ces actions portaient atteinte à la liberté d’expression et entravaient le débat public sur les moyens de résoudre le conflit. Ces organisations ont appelé à mettre un terme à ces atteintes et exhorté le Parlement du Soudan du Sud à faire en sorte que le Service national de la sûreté fasse l’objet d’un contrôle, conformément au droit international relatif aux droits humains et aux normes connexes.
"Le gouvernement impose des mesures de répression au moment où il est essentiel, pour le Soudan du Sud, que des voix indépendantes contribuent aux débats visant à mettre un terme à la crise politique et au conflit armé interne", a affirmé Elizabeth Ashamu Deng, chercheuse sur le Soudan du Sud pour Amnesty International.
Les atteintes aux droits fondamentaux perpétrées par le Service national de la sûreté – une institution qui n’est à ce jour régie par aucun texte de loi – ont grandement contribué à créer un climat de peur parmi les journalistes et les défenseurs des droits humains.
"Le gouvernement impose des mesures de répression au moment où il est essentiel, pour le Soudan du Sud, que des voix indépendantes contribuent aux débats visant à mettre un terme à la crise politique et au conflit armé interne", a affirmé Elizabeth Ashamu Deng, chercheuse sur le Soudan du Sud pour Amnesty International.
Les atteintes aux droits fondamentaux perpétrées par le Service national de la sûreté – une institution qui n’est à ce jour régie par aucun texte de loi – ont grandement contribué à créer un climat de peur parmi les journalistes et les défenseurs des droits humains.