"Aucune femme ne doit se voir refuser des soins médicaux vitaux – notamment un avortement si cela est nécessaire", a déclaré Amnesty International après que les autorités salvadoriennes aient attendu pendant des semaines pour agir afin de sauver la vie d’une femme enceinte gravement malade.
La vie de Beatriz* n’est plus en danger, le gouvernement salvadorien l’ayant finalement autorisée lundi 4 juin à subir une césarienne anticipée afin qu'elle ne succombe pas aux complications causées par une grossesse non viable et une grave maladie.
Beatriz – dont le cas a galvanisé des militants du monde entier – a ainsi souffert pendant de longues semaines tandis que les tribunaux et responsables salvadoriens débattaient de la possibilité de lui offrir un traitement.
"Nous souhaitons à Beatriz un prompt rétablissement après cette expérience difficile et inutilement prolongée", a indiqué Esther Major, spécialiste du Salvador à Amnesty International.
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La vie de Beatriz* n’est plus en danger, le gouvernement salvadorien l’ayant finalement autorisée lundi 4 juin à subir une césarienne anticipée afin qu'elle ne succombe pas aux complications causées par une grossesse non viable et une grave maladie.
Beatriz – dont le cas a galvanisé des militants du monde entier – a ainsi souffert pendant de longues semaines tandis que les tribunaux et responsables salvadoriens débattaient de la possibilité de lui offrir un traitement.
"Nous souhaitons à Beatriz un prompt rétablissement après cette expérience difficile et inutilement prolongée", a indiqué Esther Major, spécialiste du Salvador à Amnesty International.
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