La ville de Bukavu s’est réveillée ce samedi 14 février en rouge et noir. Ils étaient nombreux, jeunes et vieux, à célébrer la fête de l’amour. Le groupe CALIN, Collectif d’Actions de Lutte et d’Innovation, qui regroupe les chroniqueurs de musique des radios et télévisions locales a réuni les couples dans la salle du collège Alfajiri pour une émission publique Câlin. A en croire le coordinateur de CALIN asbl Prince MURHULA, son organisation a voulu réunir les couples sous le thème « la communication dans le couple, dans la famille et dans la vie amoureuse » pour attirer l’attention du grand public sur l’importance de la communication dans la vie quotidienne. L’émission en direct était reprise par trois radios de la ville. Des artistes ont été invités pour agrémenter cette activité. Il y avait entre autre couple, celui de référence auquel les plus jeunes posaient des questions. Des questions du genre combien de temps dure la période des fiançailles, pourquoi tant de mariages et tant de divorces dans la ville de Bukavu, que fait-on exactement pendant cette délicate période mais aussi l’épineuse question de la virginité.
A la question sur la pertinence d’une telle activité, le directeur de production de CALIN asbl, Crispin KALENGA explique que la démarche vise à sensibiliser les jeunes sur l’amour vrai qui ne doit pas se cacher mais se vivre intensément et pleinement tout en gardant à l’esprit qu’il n’y a pas de brouillon dans la vie. "C’est aussi pour marquer la différence entre les générations passées et la nôtre", dit-il.
Les journalistes animateurs de la soirée ont accordé la parole au public pour des témoignages. Le couple sur la photo vit un moment difficile. Selon la fille, "mes parents interfèrent trop souvent", dit-elle, ses parents pensent qu’elle doit accorder tout son temps aux études. Ce qu’elle n’entend pas de cette oreille car, "je gère bien rationnellement mon temps", tranche-t-elle.
D’autres activités sont prévues pour ce samedi dans des lieux aussi divers que des bars et buvettes. Le dimanche 15 février c’est une sortie à la plage du « Kilomètre 18 » au bord du lac Kivu que d’autres couples se donnent rendez-vous. Les plus jeunes se sont mêlés dans l’affaire pour exiger aux parents des habits aux couleurs du jour : le rouge et le noir. Quelques fleurs et cartes sont échangées depuis le début de la semaine. De courts messages SMS aussi facilitent la tache à ceux qui s’aiment mais qui ne sont pas physiquement ensemble pour passer de bons moments.
A la question sur la pertinence d’une telle activité, le directeur de production de CALIN asbl, Crispin KALENGA explique que la démarche vise à sensibiliser les jeunes sur l’amour vrai qui ne doit pas se cacher mais se vivre intensément et pleinement tout en gardant à l’esprit qu’il n’y a pas de brouillon dans la vie. "C’est aussi pour marquer la différence entre les générations passées et la nôtre", dit-il.
Les journalistes animateurs de la soirée ont accordé la parole au public pour des témoignages. Le couple sur la photo vit un moment difficile. Selon la fille, "mes parents interfèrent trop souvent", dit-elle, ses parents pensent qu’elle doit accorder tout son temps aux études. Ce qu’elle n’entend pas de cette oreille car, "je gère bien rationnellement mon temps", tranche-t-elle.
D’autres activités sont prévues pour ce samedi dans des lieux aussi divers que des bars et buvettes. Le dimanche 15 février c’est une sortie à la plage du « Kilomètre 18 » au bord du lac Kivu que d’autres couples se donnent rendez-vous. Les plus jeunes se sont mêlés dans l’affaire pour exiger aux parents des habits aux couleurs du jour : le rouge et le noir. Quelques fleurs et cartes sont échangées depuis le début de la semaine. De courts messages SMS aussi facilitent la tache à ceux qui s’aiment mais qui ne sont pas physiquement ensemble pour passer de bons moments.
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