Malgré cela, des braves n’ont pas cessé de lutter ce fléau. Parmi ceux qui luttent ce mal une organisation « OLUCOME » (Organisation de Lutte Contre la Corruption et la Malversation Economique) a pris cette force et ce courage de dénoncer ceux qui vivent de la corruption. Mais la lutte devient plus sévère quand il s’agit des grands décideurs et des menacent ne cessent de tomber de partout.
En mars 2009, le Vice Président de l’OLUCOME Mr. Ernest MANIRUMVA a été liquidé chez lui par des gens en tenue de la police nationale de Burundi (PNB). D’après les proches et les collaborateurs de celui-ci, il aurait été victime des dossiers de la police, de la finance et d’autres services importantes de ce pays. La mort d’Ernest MANIRUMVA a soulevé par mal des gens et communautés nationales et internationales et ont exigé une enquête internationale ce qui n’a pas traîné. Le bureau fédéral américain (FBI) a envoyé ses spécialistes pour mener des investigations car la société civile burundaise n’avait pas confiance à la police locale. Mais ce qui étonnent la communauté et l’environnement burundais, c’est que cette police ne s’est pas prononcée dans ses enquêtes, aussi cette police est arrivée après que la police locale avait déjà entrepris ses propres investigations.
En fin de compte, "le milieu burundais a temps besoin des finalités et des résultats des investigations de la FBI, sinon nous dénoncerons à nos initiatives" a déclaré Mr Gabriel RUFYIRI, Président de l’OLUCOME.
En mars 2009, le Vice Président de l’OLUCOME Mr. Ernest MANIRUMVA a été liquidé chez lui par des gens en tenue de la police nationale de Burundi (PNB). D’après les proches et les collaborateurs de celui-ci, il aurait été victime des dossiers de la police, de la finance et d’autres services importantes de ce pays. La mort d’Ernest MANIRUMVA a soulevé par mal des gens et communautés nationales et internationales et ont exigé une enquête internationale ce qui n’a pas traîné. Le bureau fédéral américain (FBI) a envoyé ses spécialistes pour mener des investigations car la société civile burundaise n’avait pas confiance à la police locale. Mais ce qui étonnent la communauté et l’environnement burundais, c’est que cette police ne s’est pas prononcée dans ses enquêtes, aussi cette police est arrivée après que la police locale avait déjà entrepris ses propres investigations.
En fin de compte, "le milieu burundais a temps besoin des finalités et des résultats des investigations de la FBI, sinon nous dénoncerons à nos initiatives" a déclaré Mr Gabriel RUFYIRI, Président de l’OLUCOME.