C’est confirmé, Rima Abdul-Malak , conseillère culture et médias du Président de la République devient ministre de la Culture.
Cette Franco-libanaise née au Liban en 1978, est diplômée de Science Po Lyon. Elle étudie le Monde Arabe Contemporain avant d’obtenir un DESS développement et Coopération Internationale.
Surnommée ministre de la Culture bis sous le précédent quinquennat, la conseillère exerçait à l’Elysée une prépondérance sur la politique culturelle d’Emmanuel Macron rapporte l'Obs.. Avant de s’adresser à Roselyne Bachelot, les acteurs du monde culturel la consultait.
Très peu connue du grand public, Rima Abdul-Malak a lancé et promu le Pass Culture. Pendant la crise sanitaire, elle désamorce la colère des artistes durement frappés par la pandémie. A l'issue de ses multiples actions, le président annonce un « plan pour la culture » avec notamment l' « année blanche » pour les intermittents.
De l'ombre des cabinets à la lumière du ministère de la Culture
La culture n’a aucun secret pour celle qui passe aujourd’hui de l’ombre de l'Elysée à la lumière rue de Valois. Déjà en 2001, elle administrait « Clowns sans frontières ». Cette association humanitaire organisait des spectacles pour enfants dans les zones de guerre.
A partir de 2007, elle s’achemine vers une carrière en politique. Elle dirige le pôle « musiques actuelles » de l’Institut Français. Occupe de 2010 à 2012, le poste de directrice de cabinet de l’adjoint à la culture à la Mairie de Paris, Christophe Girard.
Remarquée par l'édile de Paris Bertrand Delanoë, elle le rejoint au titre de conseillère culture. En 2014, elle se place au service culturel de l’ambassade de France à New York pendant quatre ans.
Désormais, elle se rendra à l’Elysée non plus pour occuper l’aile réservée aux conseillers mais pour s’assoir à la table du Conseil des ministres.
Les nouveaux membres du nouveau Gouvernement sont attendus lundi autour du Président de la République et de la Première ministre Elisabeth Borne.
NK
Cette Franco-libanaise née au Liban en 1978, est diplômée de Science Po Lyon. Elle étudie le Monde Arabe Contemporain avant d’obtenir un DESS développement et Coopération Internationale.
Surnommée ministre de la Culture bis sous le précédent quinquennat, la conseillère exerçait à l’Elysée une prépondérance sur la politique culturelle d’Emmanuel Macron rapporte l'Obs.. Avant de s’adresser à Roselyne Bachelot, les acteurs du monde culturel la consultait.
Très peu connue du grand public, Rima Abdul-Malak a lancé et promu le Pass Culture. Pendant la crise sanitaire, elle désamorce la colère des artistes durement frappés par la pandémie. A l'issue de ses multiples actions, le président annonce un « plan pour la culture » avec notamment l' « année blanche » pour les intermittents.
De l'ombre des cabinets à la lumière du ministère de la Culture
La culture n’a aucun secret pour celle qui passe aujourd’hui de l’ombre de l'Elysée à la lumière rue de Valois. Déjà en 2001, elle administrait « Clowns sans frontières ». Cette association humanitaire organisait des spectacles pour enfants dans les zones de guerre.
A partir de 2007, elle s’achemine vers une carrière en politique. Elle dirige le pôle « musiques actuelles » de l’Institut Français. Occupe de 2010 à 2012, le poste de directrice de cabinet de l’adjoint à la culture à la Mairie de Paris, Christophe Girard.
Remarquée par l'édile de Paris Bertrand Delanoë, elle le rejoint au titre de conseillère culture. En 2014, elle se place au service culturel de l’ambassade de France à New York pendant quatre ans.
Désormais, elle se rendra à l’Elysée non plus pour occuper l’aile réservée aux conseillers mais pour s’assoir à la table du Conseil des ministres.
Les nouveaux membres du nouveau Gouvernement sont attendus lundi autour du Président de la République et de la Première ministre Elisabeth Borne.
NK