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L’organisation demande le déploiement rapide d’une force de maintien de la paix de l’ONU dotée d’un mandat fort la chargeant clairement de protéger les civils – et disposant des moyens nécessaires pour assurer efficacement cette mission.
"Les recherches approfondies que nous avons menées sur le terrain en République centrafricaine ces deux dernières semaines ne laissent aucun doute quant au fait que des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité sont perpétrés par toutes les parties au conflit. On peut citer notamment des exécutions extrajudiciaires, des mutilations de cadavres, la destruction volontaire d’édifices religieux tels que des mosquées, et le déplacement forcé d’un nombre considérable de personnes", a déclaré Christian Mukosa, spécialiste de l’Afrique centrale à Amnesty International.
"Les recherches approfondies que nous avons menées sur le terrain en République centrafricaine ces deux dernières semaines ne laissent aucun doute quant au fait que des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité sont perpétrés par toutes les parties au conflit. On peut citer notamment des exécutions extrajudiciaires, des mutilations de cadavres, la destruction volontaire d’édifices religieux tels que des mosquées, et le déplacement forcé d’un nombre considérable de personnes", a déclaré Christian Mukosa, spécialiste de l’Afrique centrale à Amnesty International.