Remorquage réussi du Modern-Express.mp3 (727.58 Ko)
Immatriculé au Panama et effectuant une traversée du Gabon vers Le Havre, le Modern-Express s'est renversé dans le Golfe de Gascogne et se rapprochait dangereusement des côtes françaises depuis l'évacuation de son équipage dans la journée du mardi 26 janvier.
Alors que les opérations de remorquage étaient rendues difficiles à cause d'une météo défavorable et d'une forte houle, le navire long de 164m transportant des engins de travaux et 3600 tonnes de bois, penché entre 40 et 50°, n'en finissait plus de se rapprocher: battu au milieu des vagues à 44km du littoral. Le scénario de son échouage sur les plages de Mimizan provoquant l'inquiétude: pollution, démantèlement...
Alors que les opérations de remorquage étaient rendues difficiles à cause d'une météo défavorable et d'une forte houle, le navire long de 164m transportant des engins de travaux et 3600 tonnes de bois, penché entre 40 et 50°, n'en finissait plus de se rapprocher: battu au milieu des vagues à 44km du littoral. Le scénario de son échouage sur les plages de Mimizan provoquant l'inquiétude: pollution, démantèlement...
Après plusieurs tentatives, le temps s'est finalement apaisé lundi et l'hélitreuillage spectaculaire de quatre experts néerlandais sur le navire a permis son rattachement au remorqueur Centaurus ainsi que son tractage.
Suite à ce périlleux sauvetage, le Modern-Express a pris la route pour le port de Bilbao, en Espagne, où il est aperçu ce mercredi. Une fois arrivé aux abords du port refuge, le paquebot devra être amarré à une bouée métallique, appelée coffrage, avant d'être redressé. Une énième opération dont l'issu est encore incertaine car si celle-ci échoue, toute la cargaison du navire devra être extraite, nécessitant une importante infrastructure industrielle et beaucoup de temps.
Suite à ce périlleux sauvetage, le Modern-Express a pris la route pour le port de Bilbao, en Espagne, où il est aperçu ce mercredi. Une fois arrivé aux abords du port refuge, le paquebot devra être amarré à une bouée métallique, appelée coffrage, avant d'être redressé. Une énième opération dont l'issu est encore incertaine car si celle-ci échoue, toute la cargaison du navire devra être extraite, nécessitant une importante infrastructure industrielle et beaucoup de temps.